Le télescope James Webb a découvert une galaxie primordiale aussi ancienne que l'univers !

Il n'y a définitivement plus de retour en arrière possible ! Le télescope James Webb a trouvé une galaxie primordiale aussi vieille que l'univers ! Cette découverte annonce la fin définitive de l'ancienne astrophysique et de la cosmologie. Nous sommes au début d'une toute nouvelle science naturelle qui changera à jamais les fondements de notre physique. Si les nouveaux chiffres sont exacts, cette galaxie est bien plus ancienne que l'univers et cela signifie que notre compréhension antérieure de l'espace et du temps doit être complètement reconsidérée. Mais sommes-nous vraiment prêts à réécrire l'histoire du cosmos et à repousser les limites de nos connaissances ?

Пікірлер: 48

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447Ай бұрын

    Hartle et Hawking suggèrent que si nous pouvions remonter le temps de l'Univers, nous remarquerions que tout près de ce qui aurait dû être le début, le temps cède la place à l'espace de telle manière qu'il n'y a plus que de l'espace, et pas de temps. Le début d'un phénomène est un concept défini par le temps. Si le temps n'existait pas avant le Big Bang, le concept d'un commencement de l'Univers n'a plus de sens. D'après la proposition de Hartle-Hawking, l'Univers n'a donc pas d'origine, telle que nous le comprenons normalement. L'Univers, avant le Big Bang, était comme une singularité à la fois spatiale et temporelle. Ainsi, l'Univers tel que proposé par le modèle de Hartle-Hawking n'a pas de commencement. C'est cependant un univers différent de l'univers stationnaire de Hoyle. Il n'a simplement pas de limites initiales, ni dans le temps, ni dans l'espace[1].

  • @joelvanwissen4716

    @joelvanwissen4716

    Ай бұрын

    Bonjour, très intéressant cette idée mais le temps est la seule échelle qui prouve l'existence et la fin de quelque chose, si il n'y a pas d'espace temps comment prouver qu'il y a eu l'existence de matières ?

  • @ambresaintclair9211

    @ambresaintclair9211

    Ай бұрын

    Ce qui me gêne dans votre tweet, c'est que s'il n'y a pas de variable temps (avec sa valeur), nous ne pouvons plus nous mouvoir dans l'espace... Au moment T1 nous sommes en (x1, y1, z1)... en Tn nous sommes en (xn, yn, zn) ==> le temps fait partie de l'espace sinon pas de mouvement possible dans l'espace...

  • @fabriceraharijaona7446

    @fabriceraharijaona7446

    Ай бұрын

    Cette hypothèse relève peut être de la science-fiction mais si cela se trouve , le temp ne s'écoule pas de la même manière dans Galaxy, allez-savoir quelle impacte ça aurait sur la façon dont JW observe depuis une grande distance sinon, super cette découverte .

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447Ай бұрын

    Notre Univers pourrait avoir un jumeau, où le temps s'écoule à rebours L'Univers est en perpétuelle expansion accélérée, un phénomène qui intrigue les scientifiques depuis des décennies. Derrière ce mystère se cache potentiellement un concept intriguant: l'existence d'un anti-Univers dont le temps s'écoulerait à rebours par rapport au nôtre. Cette théorie pourrait bouleverser notre compréhension cosmique. Les théories actuelles, telles que Lambda-CDM, reposent sur la constante cosmologique pour expliquer l'expansion accélérée. Cependant, cette approche présente des lacunes théoriques significatives. C'est pourquoi des alternatives comme la quintessence ou les théories de gravité modifiée ont vu le jour, tentant de résoudre l'énigme par divers moyens, y compris en postulant des dimensions supplémentaires. Un nouveau modèle propose une solution radicalement différente. Plutôt que de s'appuyer sur des concepts d'énergie noire ou de modifications gravitationnelles, il envisage un univers partenaire, un anti-Univers où le temps s'écoulerait de manière opposée. Cette idée, bien que novatrice, trouve des fondements solides dans la physique quantique et la relativité générale. D'un point de vue quantique, il est envisageable que l'Univers soit né sous forme de paire. Ainsi, selon la symétrie CPT (Charge, Parité et Temps), l'Univers après le Big Bang pourrait être le reflet de l'Univers avant celui-ci. Boyle et ses collègues ont proposé que notre Univers et son anti-Univers partenaire respectent cette symétrie, apportant une nouvelle dimension à notre compréhension cosmique. Représentation d'une paire Univers/anti-Univers. Crédit: Wikipedia, CC En se basant sur des principes de la relativité générale comme la condition d'énergie nulle et des concepts quantiques tels que l'entropie relative, il a été démontré que l'expansion accélérée est une conséquence naturelle de cette symétrie. L'entropie relative, nécessitant deux états, correspond parfaitement à l'Univers et à son anti-Univers, rendant cette théorie cohérente et élégante. Ainsi, selon cette nouvelle théorie, l'expansion accélérée de notre Univers pourrait être intrinsèquement liée à l'existence d'un anti-Univers partenaire. Cette nouvelle approche, en s'appuyant sur des théories établies sans recourir à des éléments hypothétiques comme l'énergie noire, offre une perspective potentiellement révolutionnaire pour la cosmologie moderne.

  • @ambresaintclair9211

    @ambresaintclair9211

    Ай бұрын

    Il y a beaucoup de Wikipedia avec des paragraphes imbriqués sans 1 suite logique... C'est à se demander si ce n'est pas du Chat Gpt pas très au point...

  • @godzeus6195

    @godzeus6195

    Ай бұрын

    😂😂😂😂😂😂​@@ambresaintclair9211

  • @kyfernestine8286

    @kyfernestine8286

    Ай бұрын

    Vous parlez de la théorie de jean-michel Petit "Janus" il me semble. C est en effet une théorie intéressante même si décriée par beaucoup d astrophysiciens.

  • @ArsIndusGrouppy
    @ArsIndusGrouppyАй бұрын

    Merci de nous présenter le modèle Janus de Jean-Pierre Petit pour compléter le tableau des chemins que la physique du futur peut prendre, car ce modèle Janus résout un grand nombre des problèmes que l'observation oppose au modèle standard.

  • @user-fd2jj1jn9b
    @user-fd2jj1jn9bАй бұрын

    L’univers et vraiment insensé et mystérieux voilà pourquoi il nous fascine tous et les découvertes de ce télescope nous le prouvent chaque jour

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447Ай бұрын

    D'après ce que je comprends, la théorie du « Big Bounce » est un concept selon lequel l'univers est considéré comme ayant existé à travers de multiples expansions (« Big Bangs ») et contractions (« Big Bounces ») afin que l'univers soit considéré comme ayant existé à travers de multiples expansions (« Big Bangs ») et contractions (« Big Bounces »). être d'un âge infini. Voici quelques références…

  • @libreetautonome1242
    @libreetautonome1242Ай бұрын

    Il est également possible que nous interprerons de travers les distances et donc les durées. Il n'est pas à exclure que la lumière se déplace différemment sur de grandes distances phénomène qui pourrait être corrélé avec l'inconnu de l'énergie noir qui accélère, pense t'on, l'expansion de l'univers. Il est tout à fait possible que nous soyons complètement hors sujet dans que nous n'aurons pas résolu le mystère de l'enegie noire et de la matière noire...

  • @maniaque37
    @maniaque37Ай бұрын

    j ai entendu parler de cela il y a des lunes que l univers serait bien plus vieux que prevu

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447Ай бұрын

    Big Bang ou rebond éternel : de nouvelles découvertes redessinent les débuts de notre univers L’origine de l’univers a toujours été un sujet de débat passionnant et complexe parmi les scientifiques. Deux théories dominantes ont émergé au fil des temps : la théorie du Big Bang et celle de l’Univers rebondissant. Cependant, de nouvelles recherches semblent remettre en question la viabilité de cette dernière, ouvrant une nouvelle perspective sur nos origines et l’évolution de l’Univers. La théorie du Big Bang est la plus largement acceptée concernant l’origine de l’univers. Selon cette dernière, il aurait commencé comme un point extrêmement chaud et dense, souvent appelé « singularité », il y a environ 13,8 milliards d’années. Pour des raisons encore inconnues, cette singularité aurait commencé à se dilater dans un processus appelé « inflation ». Au fur et à mesure que l’univers se dilatait, il se refroidissait, permettant la formation de particules subatomiques, puis d’atomes. Par la suite, de manière schématique, ces atomes se sont regroupés pour former des étoiles et des galaxies. Les preuves de cette théorie comprennent l’expansion continue de l’univers et le fond diffus cosmologique, représentant l’écho du Big Bang. Face à elle, la théorie de l’Univers rebondissant propose une alternative à la singularité du Big Bang. Dans cette perspective, l’univers actuel est le dernier d’une série d’univers, chacun se contractant en un petit volume avant de se dilater à nouveau. Cette contraction et cette expansion forment le « rebond ». Dans certains modèles de l’Univers rebondissant, ce cycle se répète indéfiniment. L’idée derrière cette théorie est de résoudre certains problèmes associés à la singularité du Big Bang, notamment le dysfonctionnement des lois de la physique conventionnelle. Cependant, il est important de noter que la théorie de l’Univers rebondissant est encore largement débattue contrairement à la théorie du Big Bang. Récemment, deux études publiées indépendamment mettent en doute cette idée, soutenant plutôt que l’expansion et la contraction de l’univers pourraient n’avoir eu lieu qu’une seule fois. L’une est publiée dans la revue Physical Review Letters, l’autre dans la revue Journal of Cosmology and Astroparticle Physics. Anomalies dans le fond diffus cosmologique La première étude s’est concentrée sur un aspect spécifique de la théorie de l’Univers rebondissant connu sous le nom de cosmologie quantique en boucle (LQC). La LQC prédit certaines anomalies dans le fond diffus cosmologique, un écho lumineux de l’univers encore jeune, qui devraient être observables si notre univers est le produit d’un rebond. En effet, la LQC évite les singularités, qui sont problématiques, car la physique et les mathématiques ne fonctionnent pas quand elles sont appliquées à un point infiniment petit. La LQC s’appuie sur un pont entre la physique classique et la mécanique quantique, connu sous le nom de gravité quantique en boucle, qui postule que la force de gravité s’épuise à de très petites distances plutôt que d’augmenter à l’infini. Cependant, lorsque les chercheurs ont comparé les prédictions de la LQC avec les données réelles du CMB, de 2009 à 2013, fournies par l’observatoire spatial Planck, ils n’ont trouvé aucun signe tangible de ces anomalies. Cela suggère que les modèles de l’Univers rebondissant qui s’appuient sur la LQC pour expliquer les anomalies du CMB peuvent être écartés. Malgré ces découvertes, la question sur l’origine de l’univers perdure. Les partisans du Big Bang soutiennent qu’il a eu un début, mais cela laisse en suspens la singularité insondable qui a tout déclenché. D’autre part, les théories des cosmologies cycliques proposent que l’univers soit immortel et traverse des rebonds sans fin. Un univers véritablement cyclique n’a ni début ni fin. Il se compose d’une série de rebonds qui remontent à un nombre infini de cycles et qui continueront à l’infini. Et parce qu’un tel univers n’a pas de début, il n’y a pas de Big Bang et pas de singularité. Cependant, un obstacle se dresse face à la théorie d’un univers éternellement cyclique, selon le physicien William Kinney de l’Université de Buffalo, co-auteur de la seconde étude. Il s’agit de l’entropie, qui s’accumule à chaque rebond de l’univers. Souvent considérée comme la quantité de désordre dans un système, l’entropie est liée à la quantité d’énergie utile du système : plus l’entropie est élevée, moins il y a d’énergie disponible. En remontant dans le temps, au début de l’univers, cette idée implique de facto une quantité infiniment petite d’entropie certes, mais bien présente et qui ressemble alors très fortement à un Big Bang. Les chercheurs ont donc examiné les implications de cette augmentation de l’entropie dans un univers cyclique. Ils ont conclu que même si un univers cyclique peut contourner le problème de l’entropie en se dilatant beaucoup à chaque cycle, cette solution elle-même garantit que l’univers n’est pas immortel. En d’autres termes, même un univers qui subit des rebonds cycliques aurait dû avoir une singularité pour tout mettre en mouvement en premier lieu. Cela renforce l’idée que l’univers a probablement eu un début, ce qui est en accord avec la théorie du Big Bang et contredit l’idée d’un univers éternellement rebondissant. Bien que le débat sur l’origine de l’univers soit loin d’être terminé, ces nouvelles recherches apportent des perspectives intéressantes et remettent en question certaines théories existantes. En effet, elles ne prouvent pas définitivement que la théorie de l’Univers rebondissant est incorrecte, mais elles mettent en évidence des problèmes avec certaines versions de cette théorie. Les chercheurs continuent donc d’étudier ces questions, à la recherche de la vérité sur l’origine de l’Univers et son évolution.

  • @user-vh4el3cg1y

    @user-vh4el3cg1y

    Ай бұрын

    Bonjour, Il existe une théorie sur un univers cyclique sans singularité mais qui implique un changement de paradigme très difficile à accepter et qui lui vaut d'être rejetée, je vous l'explique quand même car ce changement impliquant un des piliers fondateurs de la physique moderne, la relativité restreinte, ne peut être réfuté (ni prouvé) en l'état actuel des connaissances, faites-vous votre propre avis. C'est la théorie du point ou théorie de relativité universelle. Cela commence par l'hypothèse que nous aurions mal interprété les résultats de l'expérience Michelson-Morley, elle démontre bien l'impossibilité de l'éther fixe du 19ème mais laisse la place à un autre éther qui serait non fixe, je n'aime pas ce terme d'éther, il s'agit d'un espace avec une matérialité, il serait à la matière ce que l'énergie est à la masse et surtout il est un référentiel spatial. Considérons trois observateurs : A, B et O; A et B se dirigeant vers O depuis des directions opposées, la question se porte sur la vitesse d'approche entre A et B, dans la version sans éther l'observateur est le référentiel et la limite de vitesse entre eux vaut c, mais dans la version avec, le référentiel est l'espace, les vitesses alors s'additionnent et la limite de vitesse vaut 2c, c'est d'ailleurs tout le sens de l'expérience Michelson-Morley que d'avoir voulu mesurer cette différence car ils considéraient un éther fixe et donc depuis la terre dans la position de A ou B, mais si on observe depuis O immobile par rapport à l'éther il devient alors impossible de faire la différence entre les deux versions car elles ont le même référentiel (dans la somme des vitesses une d'elles vaut 0). Même les expériences les plus pointues ne permettent pas de trancher, par exemple pour citer une expérience tout à fait révélatrice l'expérience Haffele-Keating des deux avions qui tournent autour de la terre dans des directions opposées, on n'obtient pas le même résultat dans les deux directions et pour que les résultats soient juste on est obligé de considérer un référentiel spatial mais on explique ça très bien par l'effet Sagnac. Pour que cela soit juste il fallait donc que Michelson et Morley soient dans la position de O immobile par rapport à l'éther or la terre n'est en aucun cas le centre de l'univers mais un éther non fixe, avec une matérialité, pourrait, du fait de la gravitation, être partiellement entrainé avec la terre formant une sorte de bulle autour d'elle se déplaçant dans une autre bien plus grande centrée sur le soleil. Cette version présente un avantage considérable en fournissant une explication simple à la matière noire et l'énergie sombre, on peut supposer qu'au voisinage d'une masse suffisante l'espace se trouve condensé et que plus on s'en éloigne plus l'espace est libre de s'étaler, il faut tenir compte non seulement de la force gravitationnelle de l'astre mais aussi de la volonté de l'espace de s'étaler, ce n'est plus la même courbe gravitationnelle, la différence entre les deux pourrait-elle correspondre au problème de la matière noire ? Si l'on considère une conversion énergie-espace c'est l'énergie émise par les galaxies qui est à l'origine de l'expansion, une expansion qui se manifeste en bout de chaine dans les secteurs les plus vides de l'univers, là ou l'espace est le plus libre de s'étaler, cela va signifier que la même quantité d'énergie génère une expansion plus forte aujourd'hui que par le passé, c'est la part d'accélération de l'expansion et une explication possible pour l'énergie sombre. Je m'aperçois que je vous ai mis une tartine et que je dois partir alors que je n'ai pas terminé, je reviens pour le reste plus tard ou demain.

  • @user-vh4el3cg1y

    @user-vh4el3cg1y

    Ай бұрын

    Bonsoir Toute l'astuce de cette théorie réside dans la manière de définir un quantum d'espace-temps. Un quantum est une quantité non divisible mais la seule chose qui ne soit pas divisible est un point, qu'à cela ne tienne l'univers est un ensemble de ponts, pourtant un point ça n'a pas de dimension ! Tout dépend à quoi on le compare, dans l'univers il n'y a pas de référentiel sous-jacent, chaque point est son propre référentiel et de son point de vue il mesure 1 (une fois lui-même), le quantum est l'essence même de la relativité, il n'y a pas d'absolu, que de la relativité. Il faut aussi considérer le temps, on a une particule qui n'est qu'un point mais avec une dimension et dotée d'un quantum de temps qui a une durée mais n'est qu'un instant, la conséquence est que tous les évènements qui auront lieu au cour de son quantum de temps sembleront simultanés à la particule considérée. A l'origine toutes les particules sont identiques et mesurent 1, ce n'est donc pas une singularité, cet état initial est instable, les particules s'organisent et de puissants échanges d'énergie ont lieu. Depuis l'état initial certaines particules adopteront des quantas plus petits tandis que d'autres en adopteront de plus grands. Vu depuis l'état initial les petits quantas auront le temps de s'écouler plusieurs fois au cours de notre quantum de temps et comme tous les évènements nous semblent simultanés nous voyons la particule en plusieurs positions différentes en même temps, c'est la matière. Les quantas plus grands par contre ne peuvent être perçus dans toute leur matérialité, c'est l'espace. Une particule se déplace dans l'espace, pour une particule d'espace elle se déplace d'un point A à un point B au cours de son quantum de temps et comme tous les évènements lui semblent simultanés elle voit la particule s'allonger dans le sens du déplacement tandis que pour la particule c'est l'espace qui se contracte, le temps suivant la même logique. Il y a un équilibre entre espace et matière Dans une portion d'espace de plus en plus éloignée de l'influence de la matière les quantas s'allongent tandis que ceux de la matière présente raccourcissent et si on retire toute influence de la matière le quantum temps de l'espace devient infini, jusqu'à la fin de l'univers. Là ou la matière est concentrée son quantum temps s'allonge tandis que celui de l'espace environnant raccourcit, si on amasse suffisamment de matière (trous noirs) le quantum temps de la matière devient infini, jusqu'à la fin de l'univers, le même résultat aux deux extrêmes. Avec le temps les trous noirs finissent par tout engloutir et à l'instant ou ils y parviennent il n'y a plus que des particules toutes identiques, ce qui est l'état initial.

  • @yvesqueva462
    @yvesqueva462Ай бұрын

    Merci

  • @ambresaintclair9211
    @ambresaintclair9211Ай бұрын

    Information très intéressante sur l'absence de big bang.

  • @user-po6gz3ji2c
    @user-po6gz3ji2cАй бұрын

    merci, encore une fois que de suppositions rien n'est prouvée tout ce que je pense c'est que l'infini est indéfini.

  • @yannleclercq3921
    @yannleclercq392128 күн бұрын

    Tout ça ce passe dans les 80milliard d'année lumière que nous pouvons observer

  • @jean-claudesaint-mars7481
    @jean-claudesaint-mars7481Ай бұрын

    Se poser la question ? Sommes nous seul dans l’univers ! Jamais

  • @ludovicleplang6554
    @ludovicleplang6554Ай бұрын

    Et si tout simplement l Univers serait plus vieux que 13 milliards d années...

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447Ай бұрын

    Découverte d’une nouvelle forme de matière induite par une température atomique inférieure au zéro absolu En amenant un nuage d’atomes à une température inférieure au zéro absolu, dite « absolue négative », des physiciens ont constaté qu’ils semblaient présenter un état quantique jusqu’à présent inconnu. À cette température, les atomes pouvaient notamment être organisés selon des motifs géométriques spécifiques et complexes appelés « réseaux de Kagome ». La substance quantique résultante pourrait être une toute nouvelle forme de matière. Dans les années 1800, Lord Kelvin a défini l’échelle de température en affirmant qu’aucune matière ne peut aller en dessous du zéro absolu (0 Kelvin, soit environ -273,15 °C). Cependant, les physiciens ont découvert plus tard que la température absolue d’un gaz est proportionnelle à l’énergie moyenne des particules qui le composent. La température absolue est la température mesurée à partir du zéro absolu, qui correspond à l’état au cours duquel les particules ne possèdent plus d’énergie cinétique (donc immobiles). Une température plus élevée correspond, quant à elle, à une énergie cinétique donnée. Cependant, des physiciens ont découvert dans les années 1950 que ce principe n’était pas toujours valable, notamment en raison de la manière dont l’énergie est distribuée entre les atomes. Le zéro absolu correspond à l’état dans lequel les particules ont une entropie minimale. Pour les ensembles d’atomes présentant une température absolue positive, seuls quelques-uns se déplacent avec une énergie cinétique élevée, tandis que la plupart ont un niveau d’énergie faible. En revanche, cette distribution d’énergie s’inverse lorsque les atomes sont exposés à une température absolue négative. En d’autres termes, ceux se déplaçant avec une énergie cinétique élevée deviennent plus nombreux que ceux possédant une énergie plus faible (entropie maximale). Les particules aux températures absolues négatives possèdent ainsi plus d’énergie que celles aux températures absolues positives. Paradoxalement, les premières sont donc techniquement « plus chaudes » que les secondes. La combinaison des deux ferait circuler l’énergie ou la chaleur des unes (à l’absolu négatif) vers les autres (à l’absolu positif). En explorant cet étrange état des particules en contrôlant leurs niveaux d’énergie et leurs états quantiques, des chercheurs de l’Université de Cambridge ont découvert que la matière présentait un état inhabituel. Selon les experts, l’expérience n’a été possible qu’en utilisant les principes de la mécanique quantique et non ceux de la thermodynamique. Leurs travaux ont été présentés le 5 juin 2024, à l’occasion de la réunion annuelle de la Division de physique atomique, moléculaire et optique de l’American Physical Society à Fort Worth, au Texas. Un comportement similaire à l’énergie noire ? Dans le cadre de son expérience, l’équipe de Cambridge a placé un nuage contenant des milliers d’atomes de potassium dans une chambre à vide, puis les a exposés à une température proche du zéro absolu. Pour ce faire, les chercheurs ont utilisé des lasers et des champs magnétiques. « Nous utilisons des atomes neutres dans des réseaux optiques comme simulateurs quantiques analogiques », ont-ils expliqué dans leur étude. Cela a entre autres permis de contrôler les états quantiques et énergétiques des atomes, de sorte à les amener à une température absolue négative. À noter que ces mêmes chercheurs ont déjà réalisé une expérience plus ou moins similaire en 2013, en utilisant un gaz quantique ultrafoid composé d’atomes de potassium. Les lasers et les champs magnétiques avaient permis d’arranger les atomes individuels au sein d’un réseau. À des températures absolues positives, les atomes se repoussaient, rendant la configuration instable. En revanche, les températures absolues négatives (induites en ajustant le champ magnétique) les ont amenés à s’attirer entre eux, rendant ainsi le système plus stable. « Cela fait passer soudainement les atomes de leur état d’énergie le plus stable et le plus bas à l’état d’énergie le plus élevé possible, avant qu’ils ne puissent réagir », a expliqué dans un article de blog de la revue Nature l’un des auteurs de l’étude, Ulrich Schneider, de l’Université de Cambridge. « C’est comme marcher dans une vallée et se retrouver instantanément au sommet d’une montagne », a-t-il ajouté. Les experts en ont déduit que cet état pourrait conduire à une nouvelle forme de matière. Le protocole de la nouvelle expérience a été amélioré dans ce sens, en incitant les atomes à s’arranger selon des motifs complexes hexagonaux et triangulaires appelés réseaux de Kagome. Les chercheurs ont alors constaté que les atomes pouvaient être amenés à présenter des états quantiques au cours desquels leur énergie provient de l’interaction avec d’autres atomes. Cependant, de façon étonnante, ils ne présentaient aucune énergie cinétique. Il est intéressant de noter que le gaz exposé à une température absolue négative se comporte de manière similaire à l’énergie noire, la force hypothétique qui serait entre autres responsable de l’accélération de l’expansion de l’Univers et qui s’oppose à l’attraction gravitationnelle. Schneider et ses collègues ont constaté, au cours de leur précédente expérience, que les atomes attirés les uns par les autres doivent normalement être influencés par la gravité, mais ne le sont pas en raison de la stabilité induite par l’absolu négatif. En prochaine étape, les chercheurs prévoient d’explorer plus avant les propriétés exactes de cette nouvelle matière.

  • @ianisguerin4075

    @ianisguerin4075

    Ай бұрын

    Merci ou puis je trouver la source de cet article svp? Je parle anglais.

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447Ай бұрын

    James Webb a la capacité de regarder très loin dans l'espace, et par conséquent, très loin dans le passé. En effet, la lumière a beau se déplacer à la vitesse vertigineuse de 300 000 kilomètres par seconde, l'Univers est si vaste que certaines images qui nous parviennent aujourd'hui ont des milliards d'années !

  • @Bielskii
    @BielskiiАй бұрын

    C’est peut être stupide mais j’ai une question quand on dit l’univers elle a 13 milliards d’années c’est par rapport à nous au centre donc autour de nous c’est 13 milliards d’année peux importe la direction qu’on regarde dans l’espace

  • @Gorille_hilare

    @Gorille_hilare

    Ай бұрын

    non il y a l univers visible qui correspond a peut près a cela qui lui constitue une sphère dont nous somme le centre car nous somme l observateur qui si je me souviens bien fais plus ou moins 14 milliards d'année lumière mais le calcul nous montre que l univers actuel devrais mesurer plutôt dans les 46 milliards d années lumières la différence s'explique par l expansion de l univers qui fais que plus les objects sons loin plus l espaces entre eux et nous grandis vite dont une des conséquence étonnante est que certain portion de l'univers nous serons a jamais inaccessible car s'éloignant plus vite que la lumière

  • @ghisybuet
    @ghisybuetАй бұрын

    Ce n' est pas facile, NASA peut trouver encore des galaxies

  • @geiko64
    @geiko6428 күн бұрын

    Existait il y a 13,4 milliards d' années lumières ? Il n'y a pas un bug? L'année lumière étant normalement une distance.,

  • @saderangetekdebeat6550
    @saderangetekdebeat6550Ай бұрын

    Ont vas en deduire des choses puit 10-20 ans plus tard tout sera faux etc.. Dieu a trop bien codé l'univers

  • @laurentjamert

    @laurentjamert

    28 күн бұрын

    Donc Dieu ne veut pas que la vérité éclate. Dés l'apparition du "Fiat Lux", l'univers du Mensonge a enténébré nos cervelles. Dieu ne serait-il pas Satan ?

  • @Libres279
    @Libres279Ай бұрын

    La matière noire ou toute ces constantes de couplage ou même ce qui les défié, c'est dieu les copains

  • @laurentjamert

    @laurentjamert

    28 күн бұрын

    Faux ! La matière noire, c'est l'ensemble des "possibles" qui se sont projetés, qui se projettent, et qui se projetteront dans le Réel, par l'intermédiaire du Quantique.

  • @ferrierjean6018
    @ferrierjean6018Ай бұрын

    C'est une image du passé , tu ne comprends pas ?

  • @mirifiquelangoustine
    @mirifiquelangoustineАй бұрын

    l'univers n'a jamais commencé faites pas 🤣 chier et il est infini il est à la mesure de dieu qui est sans mesure

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