Parcours intéressant dans l'histoire de la Comédie Française avec des anecdotes pétillantes !
@delphineagostini90713 ай бұрын
Quel galant homme ❤
@mollypizzy43334 ай бұрын
Belle interprétation d'un texte dense et ardent !
@fabienattacks4 ай бұрын
Magistrales leçon et consécration, merci 🙏🏻
@franckcoinchelin98625 ай бұрын
Une diction tout en maîtrise
@jacquelinesalvin71585 ай бұрын
je reviens sur ce poème de Philippe Martineau Je comprends mieux la force, le poids, le choc de ce bloc singulier qui m'est tombé dessus : URANUS est le résultat d'au moins dix années de travail, révisions, retouches, élagages, repentirs... "En matière d'art le temps fait tout" Valéry n'a pas trop tort. J'écris à Philippe : V𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘱𝘰è𝘮𝘦 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘤𝘩𝘦 - 𝘴𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘤𝘦 𝘲𝘶'𝘰𝘯 𝘷𝘰𝘪𝘵 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘥𝘦 𝘯𝘰𝘴 𝘫𝘰𝘶𝘳𝘴 𝘥'𝘦𝘴𝘴𝘢𝘪𝘴 𝘥'é𝘤𝘳𝘪𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘦𝘯 𝘷𝘦𝘳𝘴, é𝘷𝘪𝘥𝘦𝘯𝘤𝘦 (𝘯𝘪𝘢𝘪𝘴𝘦𝘳𝘪𝘦 𝘮ê𝘮𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘦 𝘳𝘦𝘭𝘦𝘷𝘦𝘳) - 𝘮𝘢𝘪𝘴, 𝘫𝘦 𝘭𝘦 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘦𝘯𝘴 𝘷𝘳𝘢𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵 : - 𝘴𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘤𝘦 𝘲𝘶'𝘰𝘯 𝘢 𝘫𝘢𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘱𝘶 é𝘤𝘳𝘪𝘳𝘦 𝘥'𝘦𝘹𝘤𝘦𝘭𝘭𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘱𝘰é𝘴𝘪𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘯𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘭𝘢𝘯𝘨𝘶𝘦, (𝘥𝘶 𝘮𝘰𝘪𝘯𝘴 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘫'𝘦𝘯 𝘤𝘰𝘯𝘯𝘢𝘪𝘴), 𝘪𝘭 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘱𝘭𝘢𝘤𝘦 à 𝘤ô𝘵é 𝘥𝘦𝘴 𝘮𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴, 𝘭𝘦𝘶𝘳 é𝘨𝘢𝘭 𝘦𝘯 𝘮𝘢î𝘵𝘳𝘪𝘴𝘦, 𝘭𝘦𝘶𝘳 é𝘨𝘢𝘭 𝘦𝘯 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘱𝘰𝘴𝘴è𝘥𝘦 𝘤𝘩𝘢𝘤𝘶𝘯 𝘥'𝘰𝘳𝘪𝘨𝘪𝘯𝘢𝘭𝘪𝘵é - 𝘮𝘢𝘳𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘧𝘢𝘣𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘦𝘮𝘱𝘳𝘦𝘪𝘯𝘵𝘦 𝘴𝘦𝘯𝘴𝘪𝘣𝘭𝘦, 𝘦𝘯𝘧𝘪𝘯 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘳𝘦𝘯𝘦𝘻. 𝘐𝘭 𝘦𝘴𝘵 𝘧𝘳𝘶𝘪𝘵 𝘥𝘦 𝘵𝘦𝘤𝘩𝘯𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥'𝘪𝘯𝘵𝘶𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯, 𝘥𝘦 𝘤𝘩𝘢𝘯𝘤𝘦 (𝘫'𝘪𝘮𝘢𝘨𝘪𝘯𝘦) - 𝘶𝘯 𝘵𝘪𝘴𝘴𝘢𝘨𝘦 𝘴𝘰𝘶𝘴-𝘫𝘢𝘤𝘦𝘯𝘵 𝘦𝘯𝘳𝘪𝘤𝘩𝘪𝘵 𝘭𝘦𝘴 𝘪𝘮𝘢𝘨𝘦𝘴 𝘢𝘱𝘱𝘢𝘳𝘦𝘯𝘵𝘦𝘴 (𝘥é𝘫à 𝘴𝘪 𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷é𝘦𝘴) 𝘥'𝘶𝘯𝘦 𝘴𝘶𝘨𝘨𝘦𝘴𝘵𝘪𝘷𝘪𝘵é 𝘳𝘦𝘯𝘰𝘶𝘷𝘦𝘭é𝘦 à 𝘤𝘩𝘢𝘲𝘶𝘦 𝘭𝘦𝘤𝘵𝘶𝘳𝘦. 𝘓𝘦 𝘱𝘪𝘳𝘦 (𝘭𝘦 𝘮𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦𝘶𝘳 !) 𝘦𝘴𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘯𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘵𝘦𝘮𝘱𝘴 𝘴𝘢𝘤𝘩𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘥𝘶𝘪𝘳𝘦 ç𝘢 ! 𝘝𝘰𝘶𝘴 𝘭'𝘢𝘪𝘥𝘦𝘻 𝘶𝘯 𝘱𝘦𝘶 𝘤'𝘦𝘴𝘵 𝘷𝘳𝘢𝘪. 𝘔𝘰𝘪 𝘲𝘶𝘪 𝘮𝘦 𝘤𝘳𝘰𝘺𝘢𝘪𝘴 𝘣𝘭𝘢𝘴é 𝘥é𝘴𝘢𝘣𝘶𝘴é 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘮𝘦 𝘮𝘦𝘵𝘵𝘦𝘻 𝘶𝘯 𝘤𝘰𝘶𝘱 𝘥𝘦 𝘱𝘪𝘦𝘥 𝘢𝘶𝘹 𝘧𝘦𝘴𝘴𝘦𝘴. 𝘊𝘦 𝘯'𝘦𝘴𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘷𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘱𝘳𝘦𝘮𝘪è𝘳𝘦 𝘳é𝘶𝘴𝘴𝘪𝘵𝘦, Uranus é𝘮𝘦𝘳𝘨𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘢 𝘵𝘢𝘪𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘵𝘰𝘶𝘳 𝘥𝘦 𝘧𝘰𝘳𝘤𝘦. 𝘑𝘦 𝘭𝘶𝘪 𝘧𝘢𝘪𝘴 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘫𝘦 𝘱𝘦𝘶𝘹 𝘥𝘦 𝘱𝘶𝘣 𝘤'𝘦𝘴𝘵 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘪𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘤𝘩𝘰𝘴𝘦𝘴, 𝘫𝘦 𝘳ê𝘷𝘦 𝘥'𝘶𝘯𝘦 é𝘤𝘰𝘭𝘦, 𝘧𝘢𝘤, 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘢𝘶𝘴𝘴𝘪 𝘭𝘺𝘤é𝘦, 𝘤𝘰𝘭𝘭è𝘨𝘦... 𝘰ù 𝘲𝘶𝘦𝘭𝘲𝘶𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘧 𝘴𝘦𝘯𝘴𝘪𝘣𝘭𝘦 𝘦𝘵 𝘪𝘯𝘵𝘦𝘭𝘭𝘪𝘨𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘳𝘦𝘯𝘯𝘦 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘫'𝘦𝘴𝘴𝘢𝘪𝘦 𝘥𝘦 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘥𝘪𝘳𝘦, 𝘭𝘦 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘦𝘯𝘵𝘦, 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘢𝘨𝘦 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘴𝘦𝘴 é𝘵𝘶𝘥𝘪𝘢𝘯𝘵𝘴. Un choc en effet. L'alexandrin peut donc, dans la connaissance et le respect des contraintes classiques, produire autre chose que le déjà fait. Diffuser cette nouvelle... C'est qu'il existe quantité, pléthore de sites de poésie sur la toile. Et ce sont tous de véritables forges - inconscientes - d'ignorance, d'inculture, d'insensibilité. On est persuadé de bien faire alors qu'on n'y possède pas même une grammaire élémentaire d'écriture. Des milliers de membres s'y entre-félicitent de trouver, les uns chez les autres, l'image rassurante de leurs propres efforts. Tous ces textes n'intéressent qu'une fois. Sitôt glanés les likes et les commentaires du jour, le lendemain déverse sa nouvelle cargaison de productions interchangeables effaçant la précédente. L'ère de la poésie jetable est ouverte. Au degré d'insensibilité atteint dans de tels sites, toute singularité passe inaperçue. . , . , . , . , . , . Mais URANUS représente ce qu'une pensée poétique peut apporter de vraiment autre. L' 𝘢𝘨𝘰𝘯 y met l'homme à l'épreuve. Le mythe s'y creuse à force d'art. Du ventre de la terre, où le dieu enferme ses enfants, Martineau fait une chambre d'échos dont chaque réplique repousse à l'infini le dur jeu des parois. Il poursuit, rejoint, concrétise le rêve d'une gravure dans le vide, - gravure à l'image de nos courtes vies. Quel public pour Uranus ? Celui pris, surpris par ce pouvoir du dire. Interdit, face au bruit de sa somme inédite. Pour conclure ? Pas facile, je retiens le commentaire de Jean Claude Pierot, d'un ressenti identique mais d'une concision plus suggestive que les efforts de mon laïus : "Sacrée écriture. Sacré regard. Il y a là du chant fraternel."
@pierotjc5 ай бұрын
Sacrée écriture. Sacré regard. Il y a là du chant fraternel.
@jacquelinesalvin71585 ай бұрын
quel beau commentaire
@fabienattacks5 ай бұрын
Médée your anus’dead Mayday gros besoin d’aide M’aider envoi du Raid Mes dés le sort je plaide
@mollypizzy43335 ай бұрын
Cadre étonnant pour un poème surprenant ! Bravo pour cette mise en scènettes réussie !!!
@jacquelinesalvin71585 ай бұрын
Pas davantage on ne résume une mélodie, Valéry le dit souvent
@lambertgehin60646 ай бұрын
Il faut respecté les dragon. Sait des animo afectueu. Mê le conba-s- a l'ére deu d'ete dan la courtoizi de avec l'otre. Alors ge mais un pousse -pous pour leu refairansemen. Et la ptite cloche bien sure. Signai : la ptite cloche.
@mollypizzy43337 ай бұрын
Une belle phrase de Paul Valéry à retenir : "Ce qu'il me semble que je puisse changer à peu de frais dans un ouvrage est l'ennemi de mon plaisir, c'est à dire l'ennemi de l'ouvrage."
@jacquelinesalvin71588 ай бұрын
et toujours cet étrange "d" (poind)... Mais il traversera les siècles kzread.info/dash/bejne/h3qs0aZye7K7dKQ.htmlsi=sZ9aOupgxwksxnqf
@mollypizzy43338 ай бұрын
Ce n'est pas une erreur de croire à l'amour ! Au moins - s'il n'aboutit pas - je ressens des émotions qui me rendent heureux, pendant un certain temps, ça le vaut bien...
@DOOFY_DOOFY9 ай бұрын
votre video est tres interessante, nous voyons bien que vous voulez instruire en étant clair et simple; la qualité est malheureusement pas présente mais au moins la passion est la ! j'ai hâte de voir vos prochaines videos qui je l'espere seront aussi interessantes
@jacquelinesalvin71589 ай бұрын
Oui pour la qualité défectueuse, on est loin de la salle de concert, du studio, du steinway, des neuf micros d'enregistrement, ingé son, et surtout pianiste virtuose. À ne pas comparer aux mille et mille vidéos professionnelles qu'offre aujourd'hui KZread. Mais vous avez compris que l'on cherche juste à faire connaître, partager... De fait ce type de vidéo n'est que peu répandu
@DOOFY_DOOFY9 ай бұрын
@@jacquelinesalvin7158 au moins il parle avec la passion, il n’a pas besoin d’être virtuose
@jacquelinesalvin71589 ай бұрын
Un artiste libre sait toujours associer l'art à la technique - et il sait qu'il n'y a pas de difficulté dont la technique ne puisse triompher. 𝘓𝘦𝘴 𝘪𝘥é𝘦𝘴 𝘷𝘪𝘦𝘯𝘯𝘦𝘯𝘵 dit Stravinsky
@fabienattacks10 ай бұрын
Bref, t pauvre (parce qu’orgueilleux, comme la plupart d’entre nous, hélas). Avec tout mon irrespect, très belle musique 😊
@mollypizzy433310 ай бұрын
Jeu de lettres, jeu de sons, jeu de sens, c'est bien rigolo !
@notnek20210 ай бұрын
A Jew at a catholic wedding in 1904 Paris ? I don’t think so.
@14nov_12feb11 ай бұрын
انا الوحيد من شاهدت الفيديو الاربعاء يوم ٢١ أبيب ٦٢٦٤ موافق ٢٨ يوليو ٢٠٢٣. بتاريخ ٢١ أبيب ١٧٣٩ . بتاريخ هجري ١٠ المحرم ١٤٤٥ . ٩:٠٨ مساءا بتوقيت القاهرة . بعد شهر من الاستماع لقراءة جيمس جويس لنص من عوليس متاح فيديو علي اليوتيوب . يوم نشر حالة ( استس ) علي رقم الواتس الخاص. في ذكري عاشوراء، واحدة من أحداث قتال المسلمين الاوائل موفورة الدماء والأحزان والإنكار والجهل: بين صحابة ( مثل موقعة الجمل : علي ومعاوية وعايشة ) وفي زمن تابعين ( حسين ويزيد ).
@fabienattacks11 ай бұрын
Moi a viens
@mollypizzy433311 ай бұрын
Très beau moment tout en douceur.
@lemondeselonfreud538911 ай бұрын
J'ai été jusqu'au bout ! Et me voilà tombé comme un piaf dans votre nid mystérieux !
@lemondeselonfreud538911 ай бұрын
kzread.info/dash/bejne/gZijscF-hJTMdbQ.html
@perlefisker11 ай бұрын
He walks as sickly that it could be him.
@jacquelinesalvin7158 Жыл бұрын
#blaisecendrars #prosedutranssiberien
@jirofare2polisse8 ай бұрын
Jacqueline c'est inutile de faire ça
@franckcoinchelin9862 Жыл бұрын
Cher Michael , 1h23 mn d'une nouvelle vidéo sur des questions autour de la poésie qui par votre singulier talent les éclaire d'une lumière renouvelée.. Et qui résonne sur la couverture du livre de Jacques Donguy, poésies expérimentales zone numérique (1953-2007) qui n'est jamais éloigné de plus de 23 cms du clavier de mon ordi..
@jacquelinesalvin7158 Жыл бұрын
Dans mes bras
@mollypizzy4333 Жыл бұрын
C'est ex-trê-me-ment intéressant !!!! J'attends la suite (vu qu'il y a encore des sujets à traiter :) !)
@fabienattacks Жыл бұрын
C bien chauffé au fur et à mesure ❤ quel travail
@jacquelinesalvin7158 Жыл бұрын
#louislatourre
@jacquelinesalvin7158 Жыл бұрын
#louislatourre
@jacquelinesalvin7158 Жыл бұрын
#louislatourre
@andrewkaiser Жыл бұрын
Merci. A wonderful video.
@anodyne57 Жыл бұрын
This seems like a load of bunk. You can slow that clip down 100x and you still won't be able to see that person's face, to tell if it was Proust, or some other young white-skinned man with a hat and a dark moustache. Unless someone has proof of exactly what he was wearing, what color, the specifics...this doesn't "show" or "prove" anything.
@jacquelinesalvin7158 Жыл бұрын
Réponse à une question candide "Quand on dit un poème peut-on garder un ton normal ?" " Trop long de définir "normal" - ce mot veut résumer la force d'habitude. L'art de dire un poème est comme l'art d'en écrire : avant tout un métier. Je te dis déjà des banalités. Il y a, en chacun, dès la naissance, une tendance, une facilité, dans tous les domaines de travail ou d'expression. (Du moins : Il y en eut. Car aujourd'hui personne n'est plus poète qu'un autre, et tout le monde a voix au chapitre.) Maintenant des considérations historiques. La poésie de toutes les civilisations, depuis des millénaires, à toujours été associée au chant. Impossible de l'en séparer. La poésie de notre langue française depuis plus de mille ans est un travail de marqueterie sonore, les vers sont agencés syllabe à syllabe. La musicalité est la première caractéristique. Cette forme de poésie millénaire voulait un travail de soin équivalent chez ceux qui la disaient. On raconte que Racine disait merveilleusement les vers. Plus recémment André Gide aussi. Les acteurs de théâtre aimaient donner des récitals de poésie. MAIS voici une révolution technologique : l'invention de l'enregistrement sonore et de l'amplification. Les premiers acteurs confrontés au micro (dès avant 1900) se sont d'abord senti perdus. Il fallait passer d'une déclamation visant le 50e rang du théâtre au quasi chuchotement : impossible. Aujourd'hui ceux qui n'ont pas le moindre recul ne se rendent pas compte que par exemple, le journaliste qui présente les informations radio tv à une diction totalement artificielle. J'ai trop bossé sur la déclamation pour te faire un résumé, mais oui, déjà parler devant un micro demande du métier. Parler pour dire un poème encore plus. Il y a une infinité de manières de dire. Il y a une chose que de mon côté je ne supporte pas : ceux qui usent de béquilles - fond musical ou sonore sous leur récitation- pour compenser leur ignorance, surdité, absence de technique, soit absence d'art.. " kzread.info/dash/bejne/eKqdt9yqnZvXk84.html
@jacquelinesalvin7158 Жыл бұрын
Réponse à une question candide "Quand on dit un poème peut-on garder un ton normal ?" " Trop long de définir "normal" - ce mot veut résumer la force d'habitude. L'art de dire un poème est comme l'art d'en écrire : avant tout un métier. Je te dis déjà des banalités. Il y a, en chacun, dès la naissance, une tendance, une facilité, dans tous les domaines de travail ou d'expression. (Du moins : Il y en eut. Car aujourd'hui personne n'est plus poète qu'un autre, et tout le monde a voix au chapitre.) Maintenant des considérations historiques. La poésie de toutes les civilisations, depuis des millénaires, à toujours été associée au chant. Impossible de l'en séparer. La poésie de notre langue française depuis plus de mille ans est un travail de marqueterie sonore, les vers sont agencés syllabe à syllabe. La musicalité est la première caractéristique. Cette forme de poésie millénaire voulait un travail de soin équivalent chez ceux qui la disaient. On raconte que Racine disait merveilleusement les vers. Plus recémment André Gide aussi. Les acteurs de théâtre aimaient donner des récitals de poésie. MAIS voici une révolution technologique : l'invention de l'enregistrement sonore et de l'amplification. Les premiers acteurs confrontés au micro (dès avant 1900) se sont d'abord senti perdus. Il fallait passer d'une déclamation visant le 50e rang du théâtre au quasi chuchotement : impossible. Aujourd'hui ceux qui n'ont pas le moindre recul ne se rendent pas compte que par exemple, le journaliste qui présente les informations radio tv à une diction totalement artificielle. J'ai trop bossé sur la déclamation pour te faire un résumé, mais oui, déjà parler devant un micro demande du métier. Parler pour dire un poème encore plus. Il y a une infinité de manières de dire. Il y a une chose que de mon côté je ne supporte pas : ceux qui usent de béquilles - fond musical ou sonore sous leur récitation- pour compenser leur ignorance, surdité, absence de technique, soit absence d'art.. " kzread.info/dash/bejne/h2GYptqwos-oiqQ.html&feature=share
@jacquelinesalvin7158 Жыл бұрын
Réponse à une question candide "Quand on dit un poème peut-on garder un ton normal ?" " Trop long de définir "normal" - ce mot veut résumer la force d'habitude. L'art de dire un poème est comme l'art d'en écrire : avant tout un métier. Je te dis déjà des banalités. Il y a, en chacun, dès la naissance, une tendance, une facilité, dans tous les domaines de travail ou d'expression. (Du moins : Il y en eut. Car aujourd'hui personne n'est plus poète qu'un autre, et tout le monde a voix au chapitre.) Maintenant des considérations historiques. La poésie de toutes les civilisations, depuis des millénaires, à toujours été associée au chant. Impossible de l'en séparer. La poésie de notre langue française depuis plus de mille ans est un travail de marqueterie sonore, les vers sont agencés syllabe à syllabe. La musicalité est la première caractéristique. Cette forme de poésie millénaire voulait un travail de soin équivalent chez ceux qui la disaient. On raconte que Racine disait merveilleusement les vers. Plus recémment André Gide aussi. Les acteurs de théâtre aimaient donner des récitals de poésie. MAIS voici une révolution technologique : l'invention de l'enregistrement sonore et de l'amplification. Les premiers acteurs confrontés au micro (dès avant 1900) se sont d'abord senti perdus. Il fallait passer d'une déclamation visant le 50e rang du théâtre au quasi chuchotement : impossible. Aujourd'hui ceux qui n'ont pas le moindre recul ne se rendent pas compte que par exemple, le journaliste qui présente les informations radio tv à une diction totalement artificielle. J'ai trop bossé sur la déclamation pour te faire un résumé, mais oui, déjà parler devant un micro demande du métier. Parler pour dire un poème encore plus. Il y a une infinité de manières de dire. Il y a une chose que de mon côté je ne supporte pas : ceux qui usent de béquilles - fond musical ou sonore sous leur récitation- pour compenser leur ignorance, surdité, absence de technique, soit absence d'art.. " kzread.info/dash/bejne/h2GYptqwos-oiqQ.html&feature=share
Do you have a scan of the piano part of the Sept haïkaï?
@emmanuellemenant4382 Жыл бұрын
un être intergénérationnel qui manque merci
@wormswithteeth Жыл бұрын
oh to see inside their flat...
@jacquelinesalvin7158 Жыл бұрын
kzread.info/dash/bejne/ioaGytWRZM2Xf8Y.html
@mollypizzy4333 Жыл бұрын
Merci de ces anecdotes ravissantes ! Quel bâtiment cossu, j'aurais été heureuse d'être sa voisine, j'adore ses compositions !!!
@lauraorsini73 Жыл бұрын
Je me régale ,vous êtes un soleil...merci....Ho ! Oui la Mort a frappée Haut...trop Haut, pour faire un deuil quelconque....ma mère et ma grand-mère l adore, aussi....
@lauraorsini73 Жыл бұрын
J avais reconnue la maison....je suis tellement heureuse de voir ce reportage....et la voix, j adore la voix de Gérard...je l aime je l aime, je l aime.....c'est un bonheur, de vous voir et vous écouter....la photo que vous avez à la main est magnifique....je pourrais vous écouter pendant des heures...vous êtes comédien ,vous aussi.
@lauraorsini73 Жыл бұрын
Merci pour ces hommages, ce que n'a pas été capable de faire l horrible télévision française..honte à eux..Gérard c'est le meilleur, et il a fait bouger, les choses...mon acteur préféré...mon rêve, aurait été de vivre à cette époque, et pouvoir le voir sur les planches dans le cid et le Prince de Hombourg....Gérard Philipe c'est le Cid...et il reposes dans son costume...merci, merci à vous...vous êtes génial....
Пікірлер
Where is Marcel?
🎉🎉🎉
Magnifique, merci
Parcours intéressant dans l'histoire de la Comédie Française avec des anecdotes pétillantes !
Quel galant homme ❤
Belle interprétation d'un texte dense et ardent !
Magistrales leçon et consécration, merci 🙏🏻
Une diction tout en maîtrise
je reviens sur ce poème de Philippe Martineau Je comprends mieux la force, le poids, le choc de ce bloc singulier qui m'est tombé dessus : URANUS est le résultat d'au moins dix années de travail, révisions, retouches, élagages, repentirs... "En matière d'art le temps fait tout" Valéry n'a pas trop tort. J'écris à Philippe : V𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘱𝘰è𝘮𝘦 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘤𝘩𝘦 - 𝘴𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘤𝘦 𝘲𝘶'𝘰𝘯 𝘷𝘰𝘪𝘵 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘥𝘦 𝘯𝘰𝘴 𝘫𝘰𝘶𝘳𝘴 𝘥'𝘦𝘴𝘴𝘢𝘪𝘴 𝘥'é𝘤𝘳𝘪𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘦𝘯 𝘷𝘦𝘳𝘴, é𝘷𝘪𝘥𝘦𝘯𝘤𝘦 (𝘯𝘪𝘢𝘪𝘴𝘦𝘳𝘪𝘦 𝘮ê𝘮𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘦 𝘳𝘦𝘭𝘦𝘷𝘦𝘳) - 𝘮𝘢𝘪𝘴, 𝘫𝘦 𝘭𝘦 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘦𝘯𝘴 𝘷𝘳𝘢𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵 : - 𝘴𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘤𝘦 𝘲𝘶'𝘰𝘯 𝘢 𝘫𝘢𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘱𝘶 é𝘤𝘳𝘪𝘳𝘦 𝘥'𝘦𝘹𝘤𝘦𝘭𝘭𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘱𝘰é𝘴𝘪𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘯𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘭𝘢𝘯𝘨𝘶𝘦, (𝘥𝘶 𝘮𝘰𝘪𝘯𝘴 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘫'𝘦𝘯 𝘤𝘰𝘯𝘯𝘢𝘪𝘴), 𝘪𝘭 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘱𝘭𝘢𝘤𝘦 à 𝘤ô𝘵é 𝘥𝘦𝘴 𝘮𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴, 𝘭𝘦𝘶𝘳 é𝘨𝘢𝘭 𝘦𝘯 𝘮𝘢î𝘵𝘳𝘪𝘴𝘦, 𝘭𝘦𝘶𝘳 é𝘨𝘢𝘭 𝘦𝘯 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘱𝘰𝘴𝘴è𝘥𝘦 𝘤𝘩𝘢𝘤𝘶𝘯 𝘥'𝘰𝘳𝘪𝘨𝘪𝘯𝘢𝘭𝘪𝘵é - 𝘮𝘢𝘳𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘧𝘢𝘣𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘦𝘮𝘱𝘳𝘦𝘪𝘯𝘵𝘦 𝘴𝘦𝘯𝘴𝘪𝘣𝘭𝘦, 𝘦𝘯𝘧𝘪𝘯 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘳𝘦𝘯𝘦𝘻. 𝘐𝘭 𝘦𝘴𝘵 𝘧𝘳𝘶𝘪𝘵 𝘥𝘦 𝘵𝘦𝘤𝘩𝘯𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥'𝘪𝘯𝘵𝘶𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯, 𝘥𝘦 𝘤𝘩𝘢𝘯𝘤𝘦 (𝘫'𝘪𝘮𝘢𝘨𝘪𝘯𝘦) - 𝘶𝘯 𝘵𝘪𝘴𝘴𝘢𝘨𝘦 𝘴𝘰𝘶𝘴-𝘫𝘢𝘤𝘦𝘯𝘵 𝘦𝘯𝘳𝘪𝘤𝘩𝘪𝘵 𝘭𝘦𝘴 𝘪𝘮𝘢𝘨𝘦𝘴 𝘢𝘱𝘱𝘢𝘳𝘦𝘯𝘵𝘦𝘴 (𝘥é𝘫à 𝘴𝘪 𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷é𝘦𝘴) 𝘥'𝘶𝘯𝘦 𝘴𝘶𝘨𝘨𝘦𝘴𝘵𝘪𝘷𝘪𝘵é 𝘳𝘦𝘯𝘰𝘶𝘷𝘦𝘭é𝘦 à 𝘤𝘩𝘢𝘲𝘶𝘦 𝘭𝘦𝘤𝘵𝘶𝘳𝘦. 𝘓𝘦 𝘱𝘪𝘳𝘦 (𝘭𝘦 𝘮𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦𝘶𝘳 !) 𝘦𝘴𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘯𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘵𝘦𝘮𝘱𝘴 𝘴𝘢𝘤𝘩𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘥𝘶𝘪𝘳𝘦 ç𝘢 ! 𝘝𝘰𝘶𝘴 𝘭'𝘢𝘪𝘥𝘦𝘻 𝘶𝘯 𝘱𝘦𝘶 𝘤'𝘦𝘴𝘵 𝘷𝘳𝘢𝘪. 𝘔𝘰𝘪 𝘲𝘶𝘪 𝘮𝘦 𝘤𝘳𝘰𝘺𝘢𝘪𝘴 𝘣𝘭𝘢𝘴é 𝘥é𝘴𝘢𝘣𝘶𝘴é 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘮𝘦 𝘮𝘦𝘵𝘵𝘦𝘻 𝘶𝘯 𝘤𝘰𝘶𝘱 𝘥𝘦 𝘱𝘪𝘦𝘥 𝘢𝘶𝘹 𝘧𝘦𝘴𝘴𝘦𝘴. 𝘊𝘦 𝘯'𝘦𝘴𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘷𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘱𝘳𝘦𝘮𝘪è𝘳𝘦 𝘳é𝘶𝘴𝘴𝘪𝘵𝘦, Uranus é𝘮𝘦𝘳𝘨𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘢 𝘵𝘢𝘪𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘵𝘰𝘶𝘳 𝘥𝘦 𝘧𝘰𝘳𝘤𝘦. 𝘑𝘦 𝘭𝘶𝘪 𝘧𝘢𝘪𝘴 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘫𝘦 𝘱𝘦𝘶𝘹 𝘥𝘦 𝘱𝘶𝘣 𝘤'𝘦𝘴𝘵 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘪𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘤𝘩𝘰𝘴𝘦𝘴, 𝘫𝘦 𝘳ê𝘷𝘦 𝘥'𝘶𝘯𝘦 é𝘤𝘰𝘭𝘦, 𝘧𝘢𝘤, 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘢𝘶𝘴𝘴𝘪 𝘭𝘺𝘤é𝘦, 𝘤𝘰𝘭𝘭è𝘨𝘦... 𝘰ù 𝘲𝘶𝘦𝘭𝘲𝘶𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘧 𝘴𝘦𝘯𝘴𝘪𝘣𝘭𝘦 𝘦𝘵 𝘪𝘯𝘵𝘦𝘭𝘭𝘪𝘨𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘳𝘦𝘯𝘯𝘦 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘫'𝘦𝘴𝘴𝘢𝘪𝘦 𝘥𝘦 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘥𝘪𝘳𝘦, 𝘭𝘦 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘦𝘯𝘵𝘦, 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘢𝘨𝘦 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘴𝘦𝘴 é𝘵𝘶𝘥𝘪𝘢𝘯𝘵𝘴. Un choc en effet. L'alexandrin peut donc, dans la connaissance et le respect des contraintes classiques, produire autre chose que le déjà fait. Diffuser cette nouvelle... C'est qu'il existe quantité, pléthore de sites de poésie sur la toile. Et ce sont tous de véritables forges - inconscientes - d'ignorance, d'inculture, d'insensibilité. On est persuadé de bien faire alors qu'on n'y possède pas même une grammaire élémentaire d'écriture. Des milliers de membres s'y entre-félicitent de trouver, les uns chez les autres, l'image rassurante de leurs propres efforts. Tous ces textes n'intéressent qu'une fois. Sitôt glanés les likes et les commentaires du jour, le lendemain déverse sa nouvelle cargaison de productions interchangeables effaçant la précédente. L'ère de la poésie jetable est ouverte. Au degré d'insensibilité atteint dans de tels sites, toute singularité passe inaperçue. . , . , . , . , . , . Mais URANUS représente ce qu'une pensée poétique peut apporter de vraiment autre. L' 𝘢𝘨𝘰𝘯 y met l'homme à l'épreuve. Le mythe s'y creuse à force d'art. Du ventre de la terre, où le dieu enferme ses enfants, Martineau fait une chambre d'échos dont chaque réplique repousse à l'infini le dur jeu des parois. Il poursuit, rejoint, concrétise le rêve d'une gravure dans le vide, - gravure à l'image de nos courtes vies. Quel public pour Uranus ? Celui pris, surpris par ce pouvoir du dire. Interdit, face au bruit de sa somme inédite. Pour conclure ? Pas facile, je retiens le commentaire de Jean Claude Pierot, d'un ressenti identique mais d'une concision plus suggestive que les efforts de mon laïus : "Sacrée écriture. Sacré regard. Il y a là du chant fraternel."
Sacrée écriture. Sacré regard. Il y a là du chant fraternel.
quel beau commentaire
Médée your anus’dead Mayday gros besoin d’aide M’aider envoi du Raid Mes dés le sort je plaide
Cadre étonnant pour un poème surprenant ! Bravo pour cette mise en scènettes réussie !!!
Pas davantage on ne résume une mélodie, Valéry le dit souvent
Il faut respecté les dragon. Sait des animo afectueu. Mê le conba-s- a l'ére deu d'ete dan la courtoizi de avec l'otre. Alors ge mais un pousse -pous pour leu refairansemen. Et la ptite cloche bien sure. Signai : la ptite cloche.
Une belle phrase de Paul Valéry à retenir : "Ce qu'il me semble que je puisse changer à peu de frais dans un ouvrage est l'ennemi de mon plaisir, c'est à dire l'ennemi de l'ouvrage."
et toujours cet étrange "d" (poind)... Mais il traversera les siècles kzread.info/dash/bejne/h3qs0aZye7K7dKQ.htmlsi=sZ9aOupgxwksxnqf
Ce n'est pas une erreur de croire à l'amour ! Au moins - s'il n'aboutit pas - je ressens des émotions qui me rendent heureux, pendant un certain temps, ça le vaut bien...
votre video est tres interessante, nous voyons bien que vous voulez instruire en étant clair et simple; la qualité est malheureusement pas présente mais au moins la passion est la ! j'ai hâte de voir vos prochaines videos qui je l'espere seront aussi interessantes
Oui pour la qualité défectueuse, on est loin de la salle de concert, du studio, du steinway, des neuf micros d'enregistrement, ingé son, et surtout pianiste virtuose. À ne pas comparer aux mille et mille vidéos professionnelles qu'offre aujourd'hui KZread. Mais vous avez compris que l'on cherche juste à faire connaître, partager... De fait ce type de vidéo n'est que peu répandu
@@jacquelinesalvin7158 au moins il parle avec la passion, il n’a pas besoin d’être virtuose
Un artiste libre sait toujours associer l'art à la technique - et il sait qu'il n'y a pas de difficulté dont la technique ne puisse triompher. 𝘓𝘦𝘴 𝘪𝘥é𝘦𝘴 𝘷𝘪𝘦𝘯𝘯𝘦𝘯𝘵 dit Stravinsky
Bref, t pauvre (parce qu’orgueilleux, comme la plupart d’entre nous, hélas). Avec tout mon irrespect, très belle musique 😊
Jeu de lettres, jeu de sons, jeu de sens, c'est bien rigolo !
A Jew at a catholic wedding in 1904 Paris ? I don’t think so.
انا الوحيد من شاهدت الفيديو الاربعاء يوم ٢١ أبيب ٦٢٦٤ موافق ٢٨ يوليو ٢٠٢٣. بتاريخ ٢١ أبيب ١٧٣٩ . بتاريخ هجري ١٠ المحرم ١٤٤٥ . ٩:٠٨ مساءا بتوقيت القاهرة . بعد شهر من الاستماع لقراءة جيمس جويس لنص من عوليس متاح فيديو علي اليوتيوب . يوم نشر حالة ( استس ) علي رقم الواتس الخاص. في ذكري عاشوراء، واحدة من أحداث قتال المسلمين الاوائل موفورة الدماء والأحزان والإنكار والجهل: بين صحابة ( مثل موقعة الجمل : علي ومعاوية وعايشة ) وفي زمن تابعين ( حسين ويزيد ).
Moi a viens
Très beau moment tout en douceur.
J'ai été jusqu'au bout ! Et me voilà tombé comme un piaf dans votre nid mystérieux !
kzread.info/dash/bejne/gZijscF-hJTMdbQ.html
He walks as sickly that it could be him.
#blaisecendrars #prosedutranssiberien
Jacqueline c'est inutile de faire ça
Cher Michael , 1h23 mn d'une nouvelle vidéo sur des questions autour de la poésie qui par votre singulier talent les éclaire d'une lumière renouvelée.. Et qui résonne sur la couverture du livre de Jacques Donguy, poésies expérimentales zone numérique (1953-2007) qui n'est jamais éloigné de plus de 23 cms du clavier de mon ordi..
Dans mes bras
C'est ex-trê-me-ment intéressant !!!! J'attends la suite (vu qu'il y a encore des sujets à traiter :) !)
C bien chauffé au fur et à mesure ❤ quel travail
#louislatourre
#louislatourre
#louislatourre
Merci. A wonderful video.
This seems like a load of bunk. You can slow that clip down 100x and you still won't be able to see that person's face, to tell if it was Proust, or some other young white-skinned man with a hat and a dark moustache. Unless someone has proof of exactly what he was wearing, what color, the specifics...this doesn't "show" or "prove" anything.
Réponse à une question candide "Quand on dit un poème peut-on garder un ton normal ?" " Trop long de définir "normal" - ce mot veut résumer la force d'habitude. L'art de dire un poème est comme l'art d'en écrire : avant tout un métier. Je te dis déjà des banalités. Il y a, en chacun, dès la naissance, une tendance, une facilité, dans tous les domaines de travail ou d'expression. (Du moins : Il y en eut. Car aujourd'hui personne n'est plus poète qu'un autre, et tout le monde a voix au chapitre.) Maintenant des considérations historiques. La poésie de toutes les civilisations, depuis des millénaires, à toujours été associée au chant. Impossible de l'en séparer. La poésie de notre langue française depuis plus de mille ans est un travail de marqueterie sonore, les vers sont agencés syllabe à syllabe. La musicalité est la première caractéristique. Cette forme de poésie millénaire voulait un travail de soin équivalent chez ceux qui la disaient. On raconte que Racine disait merveilleusement les vers. Plus recémment André Gide aussi. Les acteurs de théâtre aimaient donner des récitals de poésie. MAIS voici une révolution technologique : l'invention de l'enregistrement sonore et de l'amplification. Les premiers acteurs confrontés au micro (dès avant 1900) se sont d'abord senti perdus. Il fallait passer d'une déclamation visant le 50e rang du théâtre au quasi chuchotement : impossible. Aujourd'hui ceux qui n'ont pas le moindre recul ne se rendent pas compte que par exemple, le journaliste qui présente les informations radio tv à une diction totalement artificielle. J'ai trop bossé sur la déclamation pour te faire un résumé, mais oui, déjà parler devant un micro demande du métier. Parler pour dire un poème encore plus. Il y a une infinité de manières de dire. Il y a une chose que de mon côté je ne supporte pas : ceux qui usent de béquilles - fond musical ou sonore sous leur récitation- pour compenser leur ignorance, surdité, absence de technique, soit absence d'art.. " kzread.info/dash/bejne/eKqdt9yqnZvXk84.html
Réponse à une question candide "Quand on dit un poème peut-on garder un ton normal ?" " Trop long de définir "normal" - ce mot veut résumer la force d'habitude. L'art de dire un poème est comme l'art d'en écrire : avant tout un métier. Je te dis déjà des banalités. Il y a, en chacun, dès la naissance, une tendance, une facilité, dans tous les domaines de travail ou d'expression. (Du moins : Il y en eut. Car aujourd'hui personne n'est plus poète qu'un autre, et tout le monde a voix au chapitre.) Maintenant des considérations historiques. La poésie de toutes les civilisations, depuis des millénaires, à toujours été associée au chant. Impossible de l'en séparer. La poésie de notre langue française depuis plus de mille ans est un travail de marqueterie sonore, les vers sont agencés syllabe à syllabe. La musicalité est la première caractéristique. Cette forme de poésie millénaire voulait un travail de soin équivalent chez ceux qui la disaient. On raconte que Racine disait merveilleusement les vers. Plus recémment André Gide aussi. Les acteurs de théâtre aimaient donner des récitals de poésie. MAIS voici une révolution technologique : l'invention de l'enregistrement sonore et de l'amplification. Les premiers acteurs confrontés au micro (dès avant 1900) se sont d'abord senti perdus. Il fallait passer d'une déclamation visant le 50e rang du théâtre au quasi chuchotement : impossible. Aujourd'hui ceux qui n'ont pas le moindre recul ne se rendent pas compte que par exemple, le journaliste qui présente les informations radio tv à une diction totalement artificielle. J'ai trop bossé sur la déclamation pour te faire un résumé, mais oui, déjà parler devant un micro demande du métier. Parler pour dire un poème encore plus. Il y a une infinité de manières de dire. Il y a une chose que de mon côté je ne supporte pas : ceux qui usent de béquilles - fond musical ou sonore sous leur récitation- pour compenser leur ignorance, surdité, absence de technique, soit absence d'art.. " kzread.info/dash/bejne/h2GYptqwos-oiqQ.html&feature=share
Réponse à une question candide "Quand on dit un poème peut-on garder un ton normal ?" " Trop long de définir "normal" - ce mot veut résumer la force d'habitude. L'art de dire un poème est comme l'art d'en écrire : avant tout un métier. Je te dis déjà des banalités. Il y a, en chacun, dès la naissance, une tendance, une facilité, dans tous les domaines de travail ou d'expression. (Du moins : Il y en eut. Car aujourd'hui personne n'est plus poète qu'un autre, et tout le monde a voix au chapitre.) Maintenant des considérations historiques. La poésie de toutes les civilisations, depuis des millénaires, à toujours été associée au chant. Impossible de l'en séparer. La poésie de notre langue française depuis plus de mille ans est un travail de marqueterie sonore, les vers sont agencés syllabe à syllabe. La musicalité est la première caractéristique. Cette forme de poésie millénaire voulait un travail de soin équivalent chez ceux qui la disaient. On raconte que Racine disait merveilleusement les vers. Plus recémment André Gide aussi. Les acteurs de théâtre aimaient donner des récitals de poésie. MAIS voici une révolution technologique : l'invention de l'enregistrement sonore et de l'amplification. Les premiers acteurs confrontés au micro (dès avant 1900) se sont d'abord senti perdus. Il fallait passer d'une déclamation visant le 50e rang du théâtre au quasi chuchotement : impossible. Aujourd'hui ceux qui n'ont pas le moindre recul ne se rendent pas compte que par exemple, le journaliste qui présente les informations radio tv à une diction totalement artificielle. J'ai trop bossé sur la déclamation pour te faire un résumé, mais oui, déjà parler devant un micro demande du métier. Parler pour dire un poème encore plus. Il y a une infinité de manières de dire. Il y a une chose que de mon côté je ne supporte pas : ceux qui usent de béquilles - fond musical ou sonore sous leur récitation- pour compenser leur ignorance, surdité, absence de technique, soit absence d'art.. " kzread.info/dash/bejne/h2GYptqwos-oiqQ.html&feature=share
L'image est très floue; aucune certitude.
Partout Apollinaire, Café, ciné, sapins, + Gérard Jugnot, Fanny Ardant, Lambert Wilson (guest stars)... kzread.info/dash/bejne/ZWV2xaiRfdC5f84.html
Georges Le Roy.
Do you have a scan of the piano part of the Sept haïkaï?
un être intergénérationnel qui manque merci
oh to see inside their flat...
kzread.info/dash/bejne/ioaGytWRZM2Xf8Y.html
Merci de ces anecdotes ravissantes ! Quel bâtiment cossu, j'aurais été heureuse d'être sa voisine, j'adore ses compositions !!!
Je me régale ,vous êtes un soleil...merci....Ho ! Oui la Mort a frappée Haut...trop Haut, pour faire un deuil quelconque....ma mère et ma grand-mère l adore, aussi....
J avais reconnue la maison....je suis tellement heureuse de voir ce reportage....et la voix, j adore la voix de Gérard...je l aime je l aime, je l aime.....c'est un bonheur, de vous voir et vous écouter....la photo que vous avez à la main est magnifique....je pourrais vous écouter pendant des heures...vous êtes comédien ,vous aussi.
Merci pour ces hommages, ce que n'a pas été capable de faire l horrible télévision française..honte à eux..Gérard c'est le meilleur, et il a fait bouger, les choses...mon acteur préféré...mon rêve, aurait été de vivre à cette époque, et pouvoir le voir sur les planches dans le cid et le Prince de Hombourg....Gérard Philipe c'est le Cid...et il reposes dans son costume...merci, merci à vous...vous êtes génial....