Je ne la connaissais pas mais Belle découverte.. Vraiment une femme haïtienne une vraie avec un grand esprit.....

Je vous écoute avec attention et intérêt . Merci ! Je vous écoute depuis la France. Vous parlez très bien madame l'écrivaine , beaucoup d'humour .❤❤❤❤❤❤

Haïti inter👍

J'aime énormément énormément le travail que vous faites Haïti inter

Je crois vraiment qu'Haïti Inter devrais être diffusé à télévision

Je suis en train de lire le livre d’histoire des écrivains et historiens Bellegarde et Lherisson, c’est le Manuel d’Histoire d’Haïti. Je suis maintenant à la page 138. C’est le premier livre lors de ce sujet que je lis puisque presque le 98 % de dominicains ignorent les évènements passés de notre voisin. Ce livre-ci, que j’ai déjà mentionné, sera le premier d’un tas de livres que j’espère lire. Je suis dominicain, et je cherche la vérité historique de t out à ce qui concerne l’ile L’Hispaniola, sur tout ce qui s’est passé dès la présence française au commencement du siècle XVII, jusque Jean Bertrand Aristide.

@RicotElasme-nz8tn

11 ай бұрын

Félicitations tu écris l e français très bien. Nous voisin.

@baltazarreyes6076

9 ай бұрын

je peux te recommander et meme te passer certains bouquins. Te puedo compartir o recomandarte algunos libros de tu interés. Hay libros que son imprescendibles

@manboinan-pz9ep

23 күн бұрын

Très bien, cependant il ne faut pas seulement lire l'histoire le destin d'Haiti est complexe. Si vous voulez avoir une lecture holistique du parcours historique d'Haiti, il faut lire : l'histoire, la litterature, l'anthropologie, la sociologie, les essais politiques et sociologiques du pasy Donc je te recommande quelques auteurs: Thomas Madiou Dantes Bellegarde Francois Manigat Antenor Firmin Demesvar Deslorme Louis Joseph Janvier Jacques Roumain Jacques Stephen Alexis

@manboinan-pz9ep

23 күн бұрын

Très bien, cependant il ne faut pas seulement lire l'histoire le destin d'Haiti est complexe. Si vous voulez avoir une lecture holistique du parcours historique d'Haiti, il faut lire : l'histoire, la litterature, l'anthropologie, la sociologie, les essais politiques et sociologiques du pasy Donc je te recommande quelques auteurs: Thomas Madiou Dantes Bellegarde Francois Manigat Antenor Firmin Demesvar Deslorme Louis Joseph Janvier Jacques Roumain Jacques Stephen Alexis

@kelvinthehuman

22 күн бұрын

@@manboinan-pz9ep Waaaoooo, je vous remerci trop. Une question: n'y a-t-il pas un site Internet ou l'on peut trouver ces livres-ci que vous avez mentionnés? Que l'on puisse télécharger?

Vous avez absolument raison quand l’on constate l’ensauvagement actuel du monde !

Super

Super ❤❤

Kòman poum jwen liv SA yo? Mwen TA renmen jwen yo

Bon travail

Amen 🙏🏾

Vive d'haiti premier republic noire du monde ❤

Haïtiens haïtiennes un peuple courageux guerrier comme l'algérie

❤❤❤

Je precise mon idea:dans la lutte pour la conquete de l'independance .

Peut on corriger cette omission de l'apport des nouveaux arrives africains dans l'ecriture de l'histoire d'haiti.?

Haïti montre la voie au monde : celle du second principe de la thermodynamique : l’entropie , le désordre et finalement la mort !

LE VER DANS LE FRUIT ! PINCKOMBE À DESMESVAR DELORME ! ( fin du 19 ème siècle ) A lire absolument... «Mon cher Delorme, Si nous n’avons pas marché avec la civilisation, si ce que nos pères nous ont laissé est de nos jours démodé, c’est-à-dire ne s’est pas modifié à notre avantage, à qui la faute ? Si de décadence en décadence, nous ne pouvons rien chez nous, pas même nous chausser sans le secours de l’étranger, à qui la faute ? Si, pour nous sauver, dit-on, nous sommes réduits à demander, nous fils des héros de l’indépendance, que ceux qui ont été chassés par nos pères, viennent dominer en Haïti par la force de leurs capitaux, à qui la faute ? Si les hommes de métiers manquent, si la culture est abandonnée, si les bureaux et les administrations de l’Etat regorgent d’employés incapables, si tout le monde, du plus petit au plus grand, veut être aujourd’hui président de la République d’Haïti, à qui la faute ?... » « Le canon prussien qui, hier encore, braqué sur le Port-au-Prince, nous faisait sentir sa puissance et notre faiblesse ; notre navire de guerre saisi dans la rade ; ses officiers, soldats et matelot, jetés honteusement sur le quai ; le fort Bizoton au pouvoir de ce créancier arrogant et brutal, qui, les mains et les poches encore pleine des milliards de la France, nous outrageait en sécurité et nous faisait rendre gorge pour la modique somme de 75 à 80,000 francs, que l’on devait ou que l’on ne devait pas à un sieur X… de l’empire allemand ; notre gouvernement obligé, c’est à ne pas le croire, de s’adresser à la caisse d’un Prussien pour payer la Prusse ; toutes ses raisons ne nous suffisent-elles pas pour nous ouvrir les yeux ? Sommes-nous aveugles ? Ou faut-il que de force on nous écarquille les paupières?» « En attendant que nous soyons assez forts pour faire exécuter nos lois sans crainte d’un consul prêt à bombarder sous le plus futile prétexte, laissons l’article 12 à la constitution comme l’enfant à sa mère ; quelque rouillée que soit une arme, elle vaut encore mieux que rien. Nous avons, à mon avis, autre chose à faire pour le moment. Établissons plutôt l’instruction obligatoire, faisons en sorte que tous les noirs des villes, des plaines et des mornes sachent lire pour qu’ils comprennent, en lisant l’histoire, que le mulâtre ne peut pas être son ennemi.» « Ne permettons pas à quelques misérables ambitieux de profiter de la crédulité ignorante de la masse pour ensanglanter notre famille haïtienne ; répandons l’instruction, la religion et la morale partout, et en remplissant notre devoir, nous aurons élevé une digue contre ce machiavélisme de quelques-uns, qui se résume en ces trois mots : Diviser pour régner. » « Occupons-nous sérieusement de nos enfants pour en faire des hommes utiles ; créons de bonnes écoles pour ceux qui, comme dit Delva, ne peuvent venir se réchauffer au foyer des lumières de l’Europe ; que ceux qui ont des moyens envoient leurs fils étudier les sciences, les arts, les lettres, ou le métier des armes, pour que nous ayons un jour des officiers instruits ; créons des ateliers pour les professions de première nécessité ; faisons nos efforts pour développer de bonne heure, dans le cœur de nos enfants, le sentiment de la patrie ; que ceux qui, Haïtiens dans nos jours prospères, renient leur pays dans l’adversité, soient mis au pilori de l’opinion publique ; vouons à la réprobation générale ceux qui, pour sauvegarder, disent-ils, leurs coffres forts menacés, sacrifient honteusement leur honneur et leur nationalité. » « Relevons notre orgueil et notre dignité, et n’abandonnons pas la place à l’étranger qui ne vient chez nous que pour faire fortune… Créons une bonne police pour nos villes et nos campagnes ; faisons que le blanc, noirs ou jaunes qui réclameront la nationalité haïtienne, les premiers par le mariage et les deux autres par consanguinité, puissent jouir de leurs droits sans obstacles et voyager dans toute l’étendue de l’île, sans avoir à redouter les insultes brutales d’un fonctionnaire mal avisé et ne comprenant pas sa mission, ou les arrogances autoritaires d’un militaire galonné… » « Pour conserver à ma lettre toute son impartialité, je dois vous dire une fois pour toutes, mon cher Delorme, que lorsque je parle d’Haïti et de ses mœurs, j’accuse indistinctement tous ceux qui depuis notre indépendance, se sont chargés de ses destinées ; j’accuse encore bien plus les premiers que les derniers, la tâche pour ceux-ci, devenant de jours en jours plus difficile… » « J’accuse tous les incapables qui ont eu le temps et les moyens d’agir et qui n’ont rien fait, et qui nous ont réduits à la mendicité. Je ne puis donc encenser aucun gouvernement devant mon pays qui demande l’aumône… » « Oui, j’encenserai ; oui, je mettrai genoux en terre et baiserai les pas de celui qui, si Dieu nous prend en pitié, pourra un jour, nous guidant dans la voie du progrès, inscrire hardiment d’une main ferme, ces trois pendants aussi simples et aussi grands : Travail, Instruction, Moralisation. A celui-là, le pays tout entier lui devra une colonne d’or… » « Si dans mes tristes soirées, à deux mille lieues d’Haïti, je me laisse aller à des rêves que je crois réalisables, si seul, dans ma chambre, je laisse courir ma plume et vous prends, vous, mon compagnon de malheur, pour confident de mes réflexions ; si nos rues sales et effondrées, si le coassement monotone du crapaud, si les eaux croupies de nos rigoles disparaissent pour moi ; si je vois Haïti prospère, si je vois nos rues propres et éclairées, une armée imposante, une police bien tenue, des juges intègres et la civilisation partout, vous le comprendrez, ce rêve, mon cher Delorme, c’est celui d’un patriote proscrit… » « Sans me faire ici l’avocat de l’Américain, dont parle Delva à la fin de sa brochure, je dirai que ce peuple est un peuple de progrès, que j’admire pour ses succès. Commerçant, il vend ses fusils, ses armes et sa poudre à ceux qui font métier de révolution dans notre pays, comme il vend sa morue, ses biscuits et sa farine à toute la population. Il nous donne en même temps de quoi nous tuer et de quoi vivre. Il écoule chez nous ses produits, pourvu qu’ils lui rapportent de l’or. C’est un peuple qui va de l’avant et qui fait commerce de tout. Comme proche voisin, nous nous adressons plutôt à lui qu’à la France ou à l’Angleterre ; tant pis pour nous, si nous nous égorgeons avec ses armes. En attendant, il marche toujours, s’enrichit, et si c’est aux dépens de notre sang, ce n’est pas sa faute, car il se soucie fort peu des partis politiques d’Haïti aux terminaisons en istes, et la meilleure preuve, c’est que les acheteurs de vapeurs de guerre, de canons, de poudre et d’obus du gouvernement du président Salnave, coudoyaient dans les rues de New-York les acheteurs des mêmes éléments de succès de la révolution de Saint-Marc… » Arrêtons-nous à ce témoignage d’importance et renvoyons le lecteur qui voudrait en savoir plus, à la petite brochure d’Edouard Pinckombe «Lettre à D. Delorme par Edouard Pinkcombe

Madam Troullo ,comment nous pouvont fait pour elimine les ignorants ,voleurs, gangs, Ariel Henry et imbeciles maintenan en charge??????

Nou ayisien nou fer trop kaka nou crazé bann devasteur bann san puder . Si tout politicien kap palé Francais yo toujour exclavage mental

Il faut espérer sur l’humanité ne suivra pas l’exemple catastrophique d’Haiti !

Malheureusement..hmmmm

Haïti n’a fait qu’anticiper la désintégration du monde !

La vertiere est une défaite pour les français.

@PititBoiscaiman

11 ай бұрын

C'est Claire 👏👏👏👏👏👊👊👊👊

@RicotElasme-nz8tn

11 ай бұрын

@@PititBoiscaiman ok mon frère

Do it in Haïtian-Creole next time, so ALL Haïtians can understand it. We can give the French a break

@teleindependance5998

Жыл бұрын

You are right but, is "ALL Haitian can understand" the goal of such show?

@PititBoiscaiman

11 ай бұрын

Because they stilled in mental slavery

@carollbaptiste5411

7 ай бұрын

She’ll do it in Haitian Creole if the interviewer speaks that language too.

e poukissa wap paler francais

@josephfrantzleriche2494

11 ай бұрын

Ce vrai

@PititBoiscaiman

11 ай бұрын

Paské yo toujou exclave

@christswifts

11 ай бұрын

@@PititBoiscaimaneksklav.

@somebody4352

8 ай бұрын

​@@PititBoiscaimanelle parle français pour être comprise par le plus grand nombre... Un africains ne comprends pas le créole Haïtien..

@carollbaptiste5411

7 ай бұрын

The interviewer does not speak Haitian Creole

Ils faux respecté ton language maternelle . Laguage l'haitienne