EN NOUS, L'ÉNERGIE d'une BOMBE... pour CREUSER des TOMBES ou pour CRÉER... un AUTRE MONDE !
Texte et Musique : Jean-Louis Aubert.
Clip et Révélations : Bertrand Rannou.
Cette chanson est extrait de l'album "Crache ton venin".
RÉVÉLATIONS sur le SENS caché du THÈME de la chanson :
L'être humain possède en lui une énergie phénoménale pleinement exploitée durant la prime enfance. Les bambins s'en délectent, l'utilisent, la laissent les porter ! Mais à l'adolescence tout se complique ! Comme cette force devient encore plus puissante, la difficulté de la maîtriser et de s'en servir augmentent en conséquence. Dans les civilisations anciennes des rites permettaient d'en tirer profit et surtout donnaient du sens à la transformation inhérente à ce passage. Mal assimilée au cours de cette transition, l'énergie risque de perturber durablement l'adulte qui va devoir se construire peu à peu sur des bases inadéquates ! Ainsi alors que le flux énergétique devrait circuler de l'intérieur vers l'extérieur - c'est comme cela qu'un môme, que la Nature et l'Univers fonctionnent -, il va se mouvoir dans l'autre sens ! Le mauvais ! Demi-tour fortement conseillé dès que la route s'élargira !
Ce fonctionnement vicié va engendrer un mal-être général se manifestant par différents symptômes plus ou moins graves : fatigue chronique, confusion mentale, angoisses, dépressions, psychoses... La liste est longue et semble illimitée, mais affiche terminus avec... folie et suicide ! Ainsi, si on laisse l'extérieur nous diriger - nourriture, médicaments, relations toxiques... - l'énergie intérieure va peu à peu s'amenuiser et l'on deviendra de plus en plus addict à toutes les formes qui nous entourent. Comme ces dernières prendront alors en main notre chemin de vie - notre "destin" - celui-ci perdra toute sa splendeur, son originalité, pour prendre au final une teinte sépia ! Cela ne pourra que nous amener à poser des actes accentuant le dysfonctionnement du monde. La seule façon "d'éclairer le monde" est d'abord de retrouver ces couleurs, cette lumière que l'on a en soi... en inversant peu à peu le processus qui s'est mis en place durant l'adolescence ! Bon demi-tour... en étant très attentif aux divers flux environnants !