Roland Barthes audio interview 1977 (3/5 - Le plaisir de l'image)

Roland Barthes interviewed by Jean Marie Benoist et Bernard Henry Levy in 1977.
Part 1 - La littérature ( • Roland Barthes audio i... )
Part 2 - Le métier ( • Roland Barthes audio i... )
Part 3 - Le plaisir de l'image
Part 4 - Le pouvoir ( • Roland Barthes audio i... )
Part 5 - Lieux et itinéraires ( • Roland Barthes audio i... )

Пікірлер: 4

  • @sylvielopez2686
    @sylvielopez26864 жыл бұрын

    Merci pour le partage, j'imagine quand les indiens ont été pris en photos, sans doute qu'ils ont sursauté de voir leurs visages plaque sur papier , ils fuyaient en croyant qu'ont leurs volaient leurs âmes , de Même pour les premières bandes cinématographiques comment les gens ont réagi devant des personnages et des objets qui bougent, y a t'il eu évanouissements où cauchemars ? Qu'elle époque , des fantômes ! Il aime la culture japonaise je le comprends bien , le dépouillement de ce qui est illusion et que nous croyons que la mort surtout aujourd'hui est au loin de la vie alors qu'elles sont intrinsèquement liés, pour la peinture surréaliste ça a dû faire un choc par rapport à Bellini où à Léonard de Vinci , la bande dessinée belge Bob et Bobette ça a complètement disparu , en fait nous nous sommes privé de l'oral , des conteurs qui jadis était le récit sans l'écriture, ainsi les contes ont pouvais en rajouter afin qu'elle perdure , bref quand même pas mal Monsieur Roland Barthes , quand ont li du Steinbeck en français c'est pas la même chose qu'en anglais américanisé, rue de la sardine. Merci

  • @Lahouari780
    @Lahouari780 Жыл бұрын

    3:00 Une esthétique n'est pas une représentation abstraite, c'est un système de valeur qui fait partie d'un corps. Roland Barthes s'ennuie au cinéma à cause de ses partis pris esthétique. Le cinéma est trop riche, trop de choses se passent; une minute de mobilité du film est d'une richesse telle que ça l'épuise.

  • @Lahouari780

    @Lahouari780

    Жыл бұрын

    11:40 la fascination de la photographie a toujours été la fascination du "ça a été", quelque chose où la mort a son mot à dire (fascination necrophilique) de ce que qui a été mort mais qui se représente comme voulant être vivant. Il faudrait donc retrouver tout une esthétique générale de fascination où on retrouverai des correspondant dans le texte par exemple, avec un temps grammaticale comme l'imparfait qui est le temps de la fascination - qui est si important dans les romans - qui est le temps du "ça a été" mais en temps qu'on le désire, qu'on l'a désiré; en temps qu'il est là et qu'en même temps il n'est plus là. C'est pourquoi l'image (la photographie) est douloureux car l'image est toujours un peu "ce dont je suis exclu". Ce qu'il y'a de fascinant dans la photographie, c'est que c'est un art mécanique et qui atteste, du moins fictivement, la vérité, la réalité de ce qui s'est produit. Dans la photographie, le problème n'est pas de représenter quelque chose, c'est de se rappeler (de se remémorer) que le souvenir est un jeu fondamentale avec le mourir.

  • @Lahouari780

    @Lahouari780

    Жыл бұрын

    14:40 Il y'a un pouvoir de l'image sur l'écriture dans le fait que toute écriture trouve son économie de jouissance dans la calligraphie et dans le fait que l'écriture ou même la voix humaine (en tout cas me verbale) peuvent se mettre souvent en scène à la façon du visible.