Les Artisans De La Fiction
Les Artisans De La Fiction
Comment construire un roman ? Comment écrire des histoires ? Comment l'écriture est-elle enseigné dans le monde ?
Passionnés par la pédagogie de l'écriture, Les Artisans de la Fiction, proposent des formations d'écriture nouvelle génération.
Commencez à vous former en découvrant les témoignages et les conseils de romanciers, de professeurs de creative writing et d'éditeurs internationaux.
Пікірлер
👌
Exactement pareil pour moi
Entendre aussi 👂
De l'art de poser une bonne question, et de celui de n'y pas répondre.
Personnage éminemment sympathique (et intéressant...)
Oui, j'ai moi aussi toujours été fasciné par ces gamins prodiges mais j'ai compris en ayant vu un certain nombre d'études leur étant consacrées. Alors, oui tous ont débuté très tôt mais tout gamin débutant une discipline très tôt ne deviendra pas un prodige ou un génie. Je crois qu'ils ont une prédisposition et le hasard fait qu'ils rencontrent leur 'discipline'. Il y a bien évidemment du travail, beaucoup de travail mais il y a surtout la passion et le plaisir de ce qu'ils font et étudient qui plus est à un âge ou le cerveau est en pleine construction et où se réalisent les connexions synaptiques. Le potentiel de leur cerveau se réalise alors pleinement et ce potentiel du cerveau humain est extraordinaire (et on en reste baba).
Vrai question : Mais est-ce que de nos jours ce serait mieux, pour les lecteurs, d'avoir affaire à des personnages tels que Sherlock, qui n'auraient "pas d'affect", dans le récits? Et vaudrait il plutôt que les personnages transmettent souvent leurs fortes émotions, aux lecteurs? Je lance le débats : Battez-vous🎉
archi-écriture de son écriture (récit de l'écrit ... utopie des utopies) ... culture de la réécriture (écrit du récit ... dystopie des hétérotopies)
Je suis de tout coeur avec vous madame. Je n'ai que 22 ans mais toute ma formation est bercée par ces grands et nobles noms de notre litterature.
Génie total. Le meilleur en France.
Merci, c’est fascinant et très rassurant !
Pas facile le métier de personnage-acteur ❤
Le titre m'a bien fait rire. À ce moment-là, on peut l'utiliser pour tout : Ce n'est pas la voiture le problème, c'est l'usager. Ce n'est pas le pétrole le problème, c'est l'usager. Ce n'est pas le couteau le problème, c'est l'usager. Ce n'est pas la bombe nucléaire le problème, c'est l'usager. Ce n'est pas le gaz Sarin le problème, c'est l'usager. En définitive, pourquoi ne pas simplement arrêter ceux qui créent ce genre d'outil par pur égoïsme en règle général ? En plus, il y a une injustice terrible vis-à-vis des IA. Leurs créateurs se sont permis de faire usage de création artistique soumis à des droits d'auteur sans leur consentement...et le plus drôle dans tout ça, c'est qu'une image générée par IA est soumise à des droits d'auteurs sous peine de sanction.
"ça leur ramène beaucoup plus de célébrité, et beaucoup plus d'argent"... voilà précisément ce qu'un écrivain devrait éviter. Sinon c'est du marketing. La littérature française peut être grandiose quand elle se tient à distance de cet exemple médiocre.
C'est ça
😀😀
Qui est cette dame ?
Catherine Fragou, agente littéraire kzread.info/dash/bejne/oZqll85yhbCYn7w.html
Un doute m'habite.
Je ne connaissais pas cet auteur, mais son côté "formateur", ses explications du travail d'écrivain tel qu'il le vit, partant de sa motivation, de sa personnalité, pour arriver à une méthode très élaborée, expliquée clairement, me paraissent très intéressants. Je suis tout à fait d'accord avec le passage sur les IA dans le domaine du roman.
Je pensais que j'étais un peu dingue de procéder de cette façon mais finalement pas tant que ça 😀
?!
Excellente explication
Je dirai plutôt 90 %pour Stephen King tellement il délaye.
Meme en travaillant 24/24, je doute qu'une personne puisse pratiquer et composer comme Mozart 😅
Il a vraiment raison.
non non il a été un génie car il a eu des parents qui lui ont fait faire QUE CA.... il a pas ue un piano etant bébé non non il a apprit sur le piano de la famille car il a eu une famille de musicien et la famille lui a pas laisser le choix !!!!
Je vis les choses différemment....Ce doute est contreproductif pour moi car je doute et je procrastine, j'ai un mémoire à terminer et je souffre de ne pas pouvoir avancer.
Mozart avait le syndrome de la tourette.
Un enfant prodige devenu un génie par le travail. Ne pas oublier le mot d'Einstein : le génie c'est 10% d'inspiration et 90% de transpiration.
Personnellement j’aime beaucoup écrire et j’ai même un talent pour ça en 4 jours j’ai écrit un livre de 72 pages en français j’ai que des 20/20 en rédaction et pourtant je n’aime pas lire du tout après honnêtement dans ma classe ceux qui ne lisent pas on des 8/20,5/20 ,12/20 15/20 max en rédaction Donc je ne sais pas si vous avez raison mais en voilà mon expérience 😊
Pas mal la comparaison du chercheur observateur 👍🏼
Je fais exactement la même chose dans mon processus d'écriture 😊
Très intéressant 🤔 Merci pour cette vidéo ^^
J’ai pas compris 😅
C’est bien vrai! La liberté de s’exprimer. Lire, écrire, et plus encore…
Écriture c'est la souffrance selon Hemingway...
Merci Monsieur Marc lewy pour tous vos romans ❤
Merci pour ces partages inspirants ! Vos shorts sont extrêmement short cependant
Merci pour votre retour. Lorsque nous tentons plus long, 30 secondes, 50 secondes ils sont 10 fois moins visionnés... Malheureusement 😭. Nous invitons tous ceux qui apprécient nos shorts à visionner, une fois, nos interviews intégrales qui font entre 10 et 35 mn.
Mon dieu Amelie nothomb !! Je l'ai rencontré cette femme incroyable !!!!
Je fais la même chose depuis plusieurs années. C'est très efficace pour la compréhension de ses personnages.
Le blaireau qui croit ecrire!!!!
Excellente vidéo !
Rimbaud, les Fleurs du Mal ??? Euuuuh ...
Petite erreur en effet ! 😅
@@briogochill6450🤷♂️
Je tombe sur cette interview de Stéphanie Delestré et surtout sur vos commentaires disparates. J’imagine que son exercice semble difficile, tant sa franchise nous apparaît déconcertante. Vos remarques s’avèrent pour la plupart pertinentes (excepté celle sur sa manière de parler qui me paraît un peu hors de propos). J’écris, comme la plupart des personnes qui ont réagi à cet entretien. On peut dire que l’analyse des 5 premières pages, qui, même si cela me paraît très réducteur, s’avèrent très réalistes. Le processus commence de cette manière dès l’arrivée de nos romans dans une maison d’édition. Pour nous, cinq pages, c’est sans doute peu pour chercher à se faufiler et franchir cette première étape de lecture de nos œuvres. Mais, c’est ainsi, et l’on demeure dans l’obligation de s’y contraindre. À moins que, comme Mme Delestré l’a évoqué, l’on s’oriente sur l’autoédition, formule qui d’après moi, prend tout son sens pour s’affranchir des contraintes de la publication traditionnelle. Toutefois, c’est un modèle « fourre-tout », avec une très mauvaise presse, du fait des acteurs quelque peu « roublards », n’ayons pas peur de le dire. Cependant, je la rejoins bien volontiers sur l’aspect stylistique du roman. Les premières pages restent à coup sûr un couperet. Je ne parle pas forcément du style que nous employons, mais, clairement, recevoir une histoire avec une typographie douteuse, des répétitions à tout va dans un même chapitre, un vocabulaire trop terne, etc. J’ai retenu la leçon à mes dépens qu’on ne se précipite pas. Il me semble impératif de corriger ou faire corriger son récit avant de l’envoyer. Il existe de très utiles logiciels à cet effet qui, en plus, ont la particularité de parfaire votre rédaction : vous apprenez en rectifiant. Je l’ai noté moi-même, votre écriture est nourrie d’une bonne retouche, si je puis dire. Ensuite, prévoir éventuellement un budget d’un ou une spécialiste de la correction, peut-être aussi très intéressant, car cette personne pourra aller plus loin sur l’analyse de votre rédaction. C’est une enveloppe certaine, mais cela peut s’avérer payant en fin de compte. L’environnement littéraire anglo-saxon s’affiche trop différent du nôtre pour pouvoir en faire une comparaison. Dans ces pays, on enseigne réellement à devenir écrivain, comme on apprend à chanter très tôt ou à être athlète en étudiant en même temps. En France, sans porter un jugement sur le sujet, il reste évident que beaucoup ont la conviction que l’on doit venir « d’hypokhâgne » et que le monde littéraire est un petit cercle privé. Le terme employé par Stéphanie Delestré prend tout son sens : l’endogamie. Un ressenti propre à notre pays (mais qui est louable) d’un « entre soi », qui incite à vite baisser les bras pour qui souhaite exprimer sa verve. En résumé, on a le sentiment de vivre l’épisode du sketch de l’humoriste Maxime (souvenez-vous !) : « Toi tu rentres, toi tu ne rentres pas ». Je crois cependant que l’on doit rester optimiste. Le monde de l’édition a changé depuis l’avènement du numérique, mais l’on a l’idée qu’il ne s’est adapté qu’en se repliant sur lui-même. C’est un constat. Mais, auteurs que nous sommes, nous avons désormais la possibilité d’éditer nos œuvres à moindre coût : l’impression par exemple (même avec un prix aléatoire du papier), nos livres à la demande restent une bonne solution de substitution. Les liseuses aussi font leur travail. Nul besoin de critiquer tel ou tel format, je rappelle quand même que le numérique s’avère négligeable par rapport aux livres papier. Et surtout cette perspective de communiquer beaucoup plus percutante et ciblée que le format traditionnel, avec des réseaux sociaux bien employés. Je retiens de cette interview que l’on se doit d’une maîtrise de nos écrits. Cela ne veut pas dire que l’on s’achemine sur une publication à notre premier envoi (loin de là). Mais, la satisfaction de quelque chose d’abouti, cela n’a pas de prix. Et, si l’on ne rencontre pas notre éditeur vu le nombre astronomique de romans adressés annuellement en France aux maisons d’édition, d’autres alternatives possibles se présentent à nous. Mais avec une œuvre bien travaillée, c’est encore mieux. Courage à nous. Littérairement vôtre,
oui, pour la sculpture et l'écriture ... la sculpture en taille directe sur granit oblige à ralentir
merci pour cette définition de l'écriture : un vrai espace de liberté
#ShutTheFuckUpIdiots. Le roman dont elle parle a pour titre: "Cosmétique de l'ennemi". C'est un roman écrit au 'Je' et place une ambiance extrèmement efficace dès les premières lignes. Dailleurs, c'est le point fort D'Amélie Nothomb. Elle produit des romans d'approximativement 200 pages avec un sens du rythme qui vous donne l'impression de faire votre cardiovasculaire en lisant ses pages. C'est aussi une des auteurs les plus célèbres et les mieux rénumérée en Europe. Donc, votre mépris, vous vous le carrez où je pense!
Comme pour les film de Columbo ,rien de nouveau dans la méthode !
Non Columbo tu sais qui est l’assassin et la victime dès le début
@@Lemangeurdeyaourt ben, oui c'est ce que je dis Columbo !
@@heleme9348non car elle dit que la victime on ne la connaît qu’à la fin de l’histoire. Ce n’est pas la même chose du coup
@@Tinaa_haa elle se trompe, ont voit l'assassin et la victime dès le début, car dans Columbo la trame c'est de voir comment il va comprendre et ce qui va l'amener à trouver et désigner l'assassin .
Bientôt , un roman érotico-pornographique, on connaîtra l’issue de l’histoire mais la fin nous dévoilera les protagonistes et les pratiques… 😅😅😅 top !! À prendre au second degré..Bien entendu. Bon week-end à tous !!
Colombo quoi.
Dans colombo, on connaît les deux dès le début … Bonne journée.