Happy to watch without commentary (however smart it might be). Just watch the game (and hear the crowds)
@meteozberk977627 күн бұрын
Grazie
@domitiusafer28 күн бұрын
Le problème est que personne ne peut définir précisément" l'extrème droite" car si on reprend la théorie de l'extrème gauche, tout ce qui n''est pas d'extrème gauche est "d'extrème droite". Ainsi De Gaulle en son temps lorsqu'il fonda en 1947 le RPF qui affichait clairement sa volonté de détruire le régime parlementaire de la 4e république et des partis ; puis lorsqu’il revint au pouvoir en France en 1958 fut traité par la gauche de "caudillo", "duce", "fasciste" et de général "d'extrème droite". Si on considère que "l'extrème droite" ce sont des nazis ou leurs partisans , ce reportage est plutôt marrant lorsque l'on sait que parmi les fondateurs de l'Europe il y avait de nombreux partisans de la grande Europe dominée par l'Allemagne voulue par Hitler. Robert Schuman né alsacien en 1902 qui avait combattu dans les armées du kaiser Guillaume II puis devenu français en 1919 était membre du gouvernement Pétain, partisan de l'armistice et votera les pleins pouvoirs à Pétain et sera condamné à l'indignité nationale à la Libération, dont il sera relevé grâce à ses réseaux ce qui lui permis de poursuivre une carrière politique sous la 4e république. Sans parler de l"allemand Walter Hallstein authentique nazi qui deviendra le 1er président de la commission européenne en 1957 et mettre en oeuvre les directives qu'il avait proposé en 1939 aux dirigeants nazis pour gérer les pays européens occupés par l"Allemagne. Si on considère en France que "l'extrème droite" correspond aux partisans du maréchal Pétain sous la 2e guerre mondiale, on peut dire que la France a déjà été dirigée depuis la 2e guerre mondiale par "l'extrème droite". Outre Robert Schuman qui fut chef du gouvernement français sous la 4e république membre du MRP (Machine à recycler les Pétainistes comme disaient les mauvaises langues) ,il y eut aussi Antoine Pinay qui fut aussi chef du gouvernement sous la 4e république d'ailleurs très populaire et ensuite ministre des finances du général De Gaulle en 1958-1960 , comme Schuman il avait voté les pleins pouvoirs à Pétain et soutenu celui-ci ce qui lui valut à lui aussi une condamnation à la Libération à l'indignité nationale dont il fut relevée comme Schuman au bout de quelques années. La France a même eu un président de la république "d'extrème droite" ce fut René Coty (1954-1958) qui avait lui aussi voté les pleins pouvoirs à Pétain, soutenu celui-ci et condamné comme Schuman et Pinay à l'indignité nationale à la Libération avant lui aussi d'en être relevé au bout de quelques années. Coty, Pinay étaient membres du parti du Centre National des Indépendants et Paysans (CNIP) où siégeaient également comme parlementaires du CNIP, Valery Giscard d'Estaing et... on l'a oublié Jean-Marie Le Pen. Le CNIP qui avait soutenu le retour au pouvoir de De Gaulle en 1958 ce qui lui valut des postes ministériels avec Pinay, Giscard d'Estaing ou Louis Jacquinot, éclata en 1962 en raison de l'indépendance de l'Algérie accordée par De Gaulle, Pinay et Le Pen partisans de l'"Algérie française passant dans l'opposition à De Gaulle tandis que Giscard d'Estaing, Jacquinot et Raymond Marcelin soutinrent De Gaulle et fondèrent un micro parti les Républicains Indépendants, Raymond Marcelin décoré également de la francisque qui sera ministre de l'intérieur de De Gaulle et Pompidou. D’ailleurs, il y a pas mal de similitudes avec les élections législatives de 1951 où afin d’empêcher déjà « l’extrème droite » d’arriver au gouvernement avec le RPF du général De Gaulle, tous les partis politiques en place tripatouillèrent la loi électorale avec ce que l’appelle « Les apparentements » où les socialistes, radicaux, démocrates chrétiens et partis de droite hostiles à De Gaulle adversaires officiellement au sein de l’assemblée nationale se liguèrent entre eux afin de faire barrage afin d’empêcher le général De Gaulle d’obtenir la majorité absolue c’était déjà « LE FRONT RIPOUBLICAIN » . D’ailleurs, il y a pas mal de similitudes avec les élections législatives de 1951 où afin d’empêcher déjà « l’extrème droite » d’arriver au gouvernement avec le RPF du général De Gaulle, tous les partis politiques en place tripatouillèrent la loi électorale avec ce que l’appelle « Les apparentements » où les socialistes, radicaux, démocrates chrétiens et partis de droite hostiles à De Gaulle adversaires officiellement au sein de l’assemblée nationale se liguèrent entre eux afin de faire barrage afin d’empêcher le général De Gaulle d’obtenir la majorité absolue c’était déjà « LE FRONT RIPOUBLICAIN » .Leurs héritiers en 2024 n'ont donc rien inventer lorsqu'il s'agit de sauver son poste grassement rémunéré toutes les combines et arrangements sont possibles. Mais cette fois, les électeurs français sont manifestement déterminés à ne pas se faire confisquer leur vote comme lors du référendum de 2005 où les parlementaires de l"'UMP de Sarkozy et les socialistes de Hollande s'étaient entendus pour anéantir les résultats du référendum où 55% des électeurs français avaient rejeté le traité constitutionnel européen.
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Le problème est que personne ne peut définir précisément" l'extrème droite" car si on reprend la théorie de l'extrème gauche, tout ce qui n''est pas d'extrème gauche est "d'extrème droite". Ainsi De Gaulle en son temps lorsqu'il fonda en 1947 le RPF qui affichait clairement sa volonté de détruire le régime parlementaire de la 4e république et des partis ; puis lorsqu’il revint au pouvoir en France en 1958 fut traité par la gauche de "caudillo", "duce", "fasciste" et de général "d'extrème droite". Si on considère que "l'extrème droite" ce sont des nazis ou leurs partisans , ce reportage est plutôt marrant lorsque l'on sait que parmi les fondateurs de l'Europe il y avait de nombreux partisans de la grande Europe dominée par l'Allemagne voulue par Hitler. Robert Schuman né alsacien en 1902 qui avait combattu dans les armées du kaiser Guillaume II puis devenu français en 1919 était membre du gouvernement Pétain, partisan de l'armistice et votera les pleins pouvoirs à Pétain et sera condamné à l'indignité nationale à la Libération, dont il sera relevé grâce à ses réseaux ce qui lui permis de poursuivre une carrière politique sous la 4e république. Sans parler de l"allemand Walter Hallstein authentique nazi qui deviendra le 1er président de la commission européenne en 1957 et mettre en oeuvre les directives qu'il avait proposé en 1939 aux dirigeants nazis pour gérer les pays européens occupés par l"Allemagne. Si on considère en France que "l'extrème droite" correspond aux partisans du maréchal Pétain sous la 2e guerre mondiale, on peut dire que la France a déjà été dirigée depuis la 2e guerre mondiale par "l'extrème droite". Outre Robert Schuman qui fut chef du gouvernement français sous la 4e république membre du MRP (Machine à recycler les Pétainistes comme disaient les mauvaises langues) ,il y eut aussi Antoine Pinay qui fut aussi chef du gouvernement sous la 4e république d'ailleurs très populaire et ensuite ministre des finances du général De Gaulle en 1958-1960 , comme Schuman il avait voté les pleins pouvoirs à Pétain et soutenu celui-ci ce qui lui valut à lui aussi une condamnation à la Libération à l'indignité nationale dont il fut relevée comme Schuman au bout de quelques années. La France a même eu un président de la république "d'extrème droite" ce fut René Coty (1954-1958) qui avait lui aussi voté les pleins pouvoirs à Pétain, soutenu celui-ci et condamné comme Schuman et Pinay à l'indignité nationale à la Libération avant lui aussi d'en être relevé au bout de quelques années. Coty, Pinay étaient membres du parti du Centre National des Indépendants et Paysans (CNIP) où siégeaient également comme parlementaires du CNIP, Valery Giscard d'Estaing et... on l'a oublié Jean-Marie Le Pen. Le CNIP qui avait soutenu le retour au pouvoir de De Gaulle en 1958 ce qui lui valut des postes ministériels avec Pinay, Giscard d'Estaing ou Louis Jacquinot, éclata en 1962 en raison de l'indépendance de l'Algérie accordée par De Gaulle, Pinay et Le Pen partisans de l'"Algérie française passant dans l'opposition à De Gaulle tandis que Giscard d'Estaing, Jacquinot et Raymond Marcelin soutinrent De Gaulle et fondèrent un micro parti les Républicains Indépendants, Raymond Marcelin décoré également de la francisque qui sera ministre de l'intérieur de De Gaulle et Pompidou. D’ailleurs, il y a pas mal de similitudes avec les élections législatives de 1951 où afin d’empêcher déjà « l’extrème droite » d’arriver au gouvernement avec le RPF du général De Gaulle, tous les partis politiques en place tripatouillèrent la loi électorale avec ce que l’appelle « Les apparentements » où les socialistes, radicaux, démocrates chrétiens et partis de droite hostiles à De Gaulle adversaires officiellement au sein de l’assemblée nationale se liguèrent entre eux afin de faire barrage afin d’empêcher le général De Gaulle d’obtenir la majorité absolue c’était déjà « LE FRONT RIPOUBLICAIN » . D’ailleurs, il y a pas mal de similitudes avec les élections législatives de 1951 où afin d’empêcher déjà « l’extrème droite » d’arriver au gouvernement avec le RPF du général De Gaulle, tous les partis politiques en place tripatouillèrent la loi électorale avec ce que l’appelle « Les apparentements » où les socialistes, radicaux, démocrates chrétiens et partis de droite hostiles à De Gaulle adversaires officiellement au sein de l’assemblée nationale se liguèrent entre eux afin de faire barrage afin d’empêcher le général De Gaulle d’obtenir la majorité absolue c’était déjà « LE FRONT RIPOUBLICAIN » .Leurs héritiers en 2024 n'ont donc rien inventer lorsqu'il s'agit de sauver son poste grassement rémunéré toutes les combines et arrangements sont possibles. Mais cette fois, les électeurs français sont manifestement déterminés à ne pas se faire confisquer leur vote comme lors du référendum de 2005 où les parlementaires de l"'UMP de Sarkozy et les socialistes de Hollande s'étaient entendus pour anéantir les résultats du référendum où 55% des électeurs français avaient rejeté le traité constitutionnel européen.