Paul KAGAME envisage de tuer SASSOU par son fils Christel et Françoise JOLY pour les terres du Congo

KAGAME trouvera toujours les Congolais sur ses fausses démarches de vouloir occuper des terres agricoles du Congo, suite aux accords clandestins conclus en 2022 et 2023. Nous ne concèderont jamais des milliers d'hectares de terres agricoles au Rwanda.
Fernand Mathias NDALA revient sur cette situation inadmissible et illégale de la cession des terres et des pleins pouvoirs attribués à une espionne rwandaise Madame YAMURAGIYE MUREKA alias Françoise JOLY.
Cette nouvelle Jeanne Antoinette POISSON dite marquise de Pompadour du dictateur congolais et premier soutien du trader Dubaïote l'Emirati MASONO est conseillère spéciale, représentante personnelle de SASSOU NGUESSO. Sa formation, son parcours et son influence sont entourés d'une nébuleuse aura d'interrogations et de mystère.
Nous nous élevons et critiquons vivement cette situation illégale et illégitime mettant en cause l'intégrité territoriale congolaise et la souveraineté nationale au regard de la Constitution et du droit international.
Voici le portrait de Paul KAGAME l'homme qui encourage les ambitions démesurées de Denis Christel SASSOU afin de créer au Congo une enclave des Tutsis et leurs bases militaires en vue d'une part d'assurer la succession dynastique au Congo et d'autre part d'oeuvrer pour la balkanisation de la RDC.
Suivez à la fin de la Vidéo, un témoignage inédit du Dr Théogène RUDASINGWA, ancien Secrétaire Général du FPR, Ambassadeur du Rwanda aux Etats Unis et Directeur de Cabinet du président KAGAME
RUDASINGWA dénonce la "TUTSIFICATION de l'armée, stratégie de KAGAME de se maintenir au pouvoir, comme le font tous les dictateurs du monde en particulier ceux d'Afrique qui s'appuient sur leurs tribus ou régions.
Théogène RUDASINGWA dit à l'humiliation et à l'apaisement: pourquoi la France doit résister et rejeter la diplomatie dangereuse de Paul KAGAME.
Le criminel KAGAME a culpabilisé à tort la France, alors que celle-ci avait entrepris une opération qui avait pour objectif de sauver des Tutsis, pendant que KAGAME avait répliqué que tous les Tutsis qui devaient mourir étaient déjà morts et qu'il n'y en avait plus à sauver".
Pour le FPR, une opération de maintien de la paix dirigée par la France ou les Nations Unies était perçue comme une menace contre une victoire militaire totale.
Essentiellement, c'est cette insensibilité, cette froideur et cette considération calculée du général KAGAME ainsi que la soif du pouvoir à tout prix par son FPR, qui ont amené les relations Rwanda-France à la crise.
Les twists et tours de l'histoire sont tels que dans le Rwanda d'après 1994, l'opinion populaire au sein des communautés Hutu et Tutsi est que les Américains et Britanniques sont pro-Tutsi.
C'est en donnant l'ordre d'abattre l'avion présidentiel qui transportait le Président HABYARIMANA , KAGAME a simultanément déraillé l'Accord de Paix d'Arusha, et déclenché le génocide et les massacres de 1994 dans les quels Tutsis et Hutus ont été victimes.
Ainsi donc on doit parler du génocide rwandais et non seulement Tutsi. C'est une contre vérité .
En novembre 2006, Le juge d'instruction français Jean Louis BRUGUIERE, inculpait le président Paul KAGAME et d'autres officiers militaires du FPR pour l'assassinat du Président Juvénal HABYARIMANA et de son homologue du Burundi Cyprien NTARYAMIRA, le FPR criait au loup .
Pour KAGAME et le FPR, c'était considéré comme une nouvelle preuve que la France était toujours anti-tutsi, anti FPR et surtout anti-KAGAME.
L’ordre de marche imposé par le génocidaire KAGAME était de s'attaquer partout à la France par tous les moyens possibles, y compris les mensonges, tromperies et dénis.
Le maintien au pouvoir de KAGAME et du FPR survit et s'épanouit bien
dans ce narratif qui perpétue des affabulations calculées en vue d'entretenir un ressenti de culpabilité pour la France et la Communauté internationale. Dans ce narratif, les Français sont des mauvais gars qui ont épaulés d'autres brutes, les Hutus, pour commettre le génocide; et que la communauté internationale a échoué à prévenir et arrêter le génocide contre les Tutsis, qui ont été sauvés par KAGAME et le FPR. Ce récit est sciemment muet sur le rôle de KAGAME dans l'assassinat du Président HABYARIMANA qui déclencha le génocide. Malgré des erreurs de la France et de la communauté internationale dans les politiques et actions envers le Rwanda à l'époque, en effet en 1994, KOFI ANNAN, sous-secrétaire général de BOUTROS BOUTROS-GHALI, était responsable du département du maintien de la paix. Il est le grand responsable pour la passivité de l'ONU lors du génocide au Rwanda, ce dont il s'excusera ensuite en 1999
Prochainement nous allons évoquer cette potion magique de KAGAME qui lui permet de bénéficier abusivement et par ruse du soutien des puissances qui veulent empêcher le progrès de l'Afrique.
Le 19 juin 2024
Me Maurice MASSENGO-TIASSE
Dr d'état en droit
Spécialiste en droit international des droits de l'Homme
Diplômé de l'IHEI de l'Université Paris 2

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