لمحة تاريخية عن # جامع بن فارس # المعروف ب / جامع ليهود / ب# شارع الشهيد عمار علي # Randon القصبة .

Пікірлер: 31

  • @DalalHars
    @DalalHars23 күн бұрын

    الله.اكبر

  • @HichemBoulouadjed-rg4ir
    @HichemBoulouadjed-rg4ir3 ай бұрын

    يعطيكم الصحة اعلى نشر هذه المعلومات شكرا لكم واصلو نحن في المتابعة

  • @nouredineteouami3933
    @nouredineteouami3933 Жыл бұрын

    بارك الله فيك أخي من فظلك عندي طلب لو تعمل لنا فيديو عن أول بيت لجمعية علماء المسلمين و هو غير بعيد عن مسجد بن فارس و شكرا

  • @slimaneaitouamer6103
    @slimaneaitouamer6103 Жыл бұрын

    بارك الله فيك على هذا الجهد

  • @user-qn6ly3go3y
    @user-qn6ly3go3y6 ай бұрын

    شكرا على الجولة

  • @djilallikaraz
    @djilallikaraz Жыл бұрын

    بارك الله فيك واصل في بقية الاماكن التاريخية الاخرى

  • @radiahaddab3851
    @radiahaddab3851Ай бұрын

    جامعة ليهود حومتي لعزيزة

  • @NacerAriout
    @NacerAriout Жыл бұрын

    بارك. الله. فيك

  • @GoodMorning-zu6ox
    @GoodMorning-zu6ox Жыл бұрын

    بارك الله فيك معلومات قيمة

  • @user-bu8gm1og6p
    @user-bu8gm1og6p Жыл бұрын

    (مسجد سيدي الحربي ) الذي كان اول مسجد بني في هذا المكان ، فقد هدم كلية ليبنى هذا الكنيس على شكل يشبه مسجد مع بعد التعديلات .

  • @user-li4yq4bv3l
    @user-li4yq4bv3l2 ай бұрын

    بارك الله فيك هذي القصة الحقيقية

  • @user-vg6wn7ii5n
    @user-vg6wn7ii5n Жыл бұрын

    Alilou, le héros oublié de la Bataille d'alger. il s'agit de parler du parcours de héros oublié dans la Bataille d'‏Alger‏, Amara Ali dit Alilou. ‏Et pourtant, son itinéraire historique reste encore inconnu des Algériens qui connaissent beaucoup plus Ali la Pointe et Yacef Saâdi, qu'Alilou et la famille Amara. La raison incombe aux historiens, mais surtout aux rescapés de la guerre de Libération, qui n'ont pas osé parler ou qui n'ont pas assez dit sur les véritables héros de la Bataille d'‏Alger‏..Si Yacef Saâdi, le chef de la Zone autonome d'‏Alger‏, n'a pas évoqué ou presque le parcours d'Amara Ali dans son livre Les souvenirs de la Bataille d'‏Alger‏, Yves Courrière, en revanche, dans son ouvrage de référence La guerre d'Algérie, partie consacrée à la Bataille d'‏Alger‏, Le temps des léopards, cite à plusieurs reprises Alilou comme étant un agent de liaison important de Yacef, mais qu'il avait un très grand défaut : la drogue. Une accusation grave de sens que réfute la soeur d'Alilou, Amara Tassadit, que tout le monde appelle respectueusement khalti Zoubida. Elle affirme que son frère n'avait aucun penchant pour la drogue et qu'il faisait tout pour convaincre les habitants de ne pas s'adonner à la nefa (une sorte de drogue consommée dans la région). D'ailleurs, Tassadit se rappelle lors qu'un jour elle nettoyait le minzah où était installé Yacef Saâdi, elle découvrit un sac en plastique contenant une matière bizarre.‏ Quand elle demande à son frère Alilou ce que c'était, il lui répond d'un ton pressé que c'était de la drogue subtilisée aux jeunes de La Casbah et qui était destinée à être brûlée.‏ Khalti Tassadit, dite Zoubida, s'interroge sur l'origine de cette accusation, indiquant que si cela avait été le cas, on n'aurait jamais confié toutes ces missions délicates à son frère Alilou.‏ Il est clair que le but d'Yves Carrière était de minimiser l'action d'Alilou au profit d'Ali La Pointe. Sans doute, a-t-il été trompé par les déclarations et les révélations de certains membres actifs de la Bataille d'‏Alger‏, Français ou Algériens. C'est sans doute la confusion issue de l'orthographe des deux noms apparaissant dans les différents rapports des parachutistes, qui a surtout joué contre Alilou. Entre Amara Ali et Alilou, né à La Casbah, et Amar Ali dit la Pointe, né à Miliana, il n'y avait que le A qui diffèrait.‏ Ce qui conforte la thèse qu'Alilou était l'homme par qui tout passe et qu'il connaissait parfaitement La Casbah et son labyrinthe architectural.‏ La preuve, nous raconte sa soeur Tassadit, la fois où il a été envoyé par Yacef afin d'accomplir une mission au maquis et qu'il était revenu le soir à minuit.‏.Personne à l'époque ne pouvait s'aventurer la nuit dans La Casbah, surtout pas Ali La Pointe qui ne connaissait pas assez la vieille ville d'‏Alger‏..Cette nuit-là, alors que Saâdi était entouré d'Amara Saïd, de Hammar Boudjemaâ et d'Ali La Pointe, la bombe de la rue des Thèbes explose, provoquant une panique et un brouhaha inimaginables. Alilou venait juste de rentrer. Il monte aussitôt sur le toit pour avoir une vue de la situation dans La Casbah. L'explosion a surpris dans leur sommeil plusieurs familles musulmanes. Ce qui a provoqué une grande colère chez Alilou, qui voulait sortir pour se venger en arrosant de balles les quartiers européens.‏ Le jeune homme était brave et prêt à tous les sacrifices. Mais une action suicidaire ne servait que l'intérêt de l'ennemi et Yacef a préféré retarder la riposte à plus tard.‏.La bombe de la rue des Thèbes était l'oeuvre de la Main rouge, une organisation clandestine composée de civils et de policiers, et qui activait comme un escadron de la mort pour venger les victimes des attentats du FLN.‏.Cette organisation visait surtout à répondre aux attentats à la bombe, commis quelques jours auparavant à Bab El-Oued par Petit Maroc, Laïchi Boualem et Maïdi Achour.‏ Ce dernier fut tué par un motard à la rue Maison, quelques jours après. Sur lui, on avait trouvé une pièce d'identité indiquant qu'il habitait rue de Thèbes. Une preuve suffisante pour ces policiers qui travaillaient en collaboration avec la Main rouge pour accomplir leur forfait.‏.Autre preuve de l'action héroïque d'Alilou et de sa parfaite connaissance du terrain, raconte d'un ton calme et assuré sa soeur, le jour où ils ont décidé de transférer Larbi Ben M'hidi.‏.La Casbah était à l'époque une zone fermée, encerclée par les fils barbelés et truffée de points de contrôle.‏.Pour échapper donc à cet encerclement, Alilou a entrepris de faire sortir Larbi Ben M'hidi par la boulangerie de Hamid Chibane. Une boulangerie qui avait une porte donnant sur la place de Bab El-Djedid et une autre qui descendait vers La Casbah.‏.Alilou, accompagné du chef du FLN et de deux de ses compères, Hamid Dali et Dahmane Boussoura, sont donc sortis de La Casbah en empruntant une porte dérobée de cette boulangerie, échappant ainsi au contrôle vigilant des paras. Informé par des éléments algériens travaillant dans la police française, Alilou devait impérativement faire évacuer Ben M'hidi de sa planque au 3, rue Sidi Ben Ali..Alilou avait accompagné lui-même Larbi Ben M'hidi à la voiture qui venait le chercher. C'était la dernière fois que les deux hommes échangeaient une poignée de main.‏.Ben M'hidi est passé de la responsabilité de la Zone autonome d'‏Alger‏ à celle du Comité de coordination d'exécution (CCE). Quelques jours plus tard, il sera arrêté, par hasard diront certains, sur dénonciation indiqueront d'autres, et après interrogatoire, il sera exécuté par Paul Aussaresses.‏ Le 7 janvier, les pouvoirs de police sont transmis aux parachutistes du général Jacques Massu, et les hommes de Yacef étaient de plus en plus menacés. Il devenait indispensable de changer de cache, à chaque apparition des hommes en treillis dans La Casbah. Avec la grève des huit jours, les choses devenaient de plus en plus difficiles pour les éléments de Yacef qui, malgré le verrouillage militaire, se déplaçaient à l'intérieur et à l'extérieur de La Casbah.‏ Au mois de mai, Yacef Saâdi, Alilou et Ramel, sous le fameux haïk blanc et Djamila Bouhired en tenue occidentale, sont sortis de leur cache chez Bahamed, qui n'est autre que le mari de la tante d'Alilou, pour changer de refuge. Djamila Bouhired portait la valise que les éléments de l'ALN appellent communément «le bureau». Une version qu'on retrouve dans le film de Gillo Pontecorvo, mais avec une nuance de taille, d'après des témoignages recueillis, Ali la Pointe n'était pas avec le groupe, à ce moment-là. C'était Alilou.‏.Au musée de l'armée (Maqam Echahid), une maquette est fidèlement reconstituée montrant Yacef, Ramel, Alilou et Bouhired.‏ En descendant La Casbah, le groupe tombe nez à nez avec une patrouille de paras. Bouhired était la plus exposée, et sa retraite fut stoppée par des tirs de sommation. Constatant qu'elle allait être attrapée avec «le bureau», Yacef Saâdi arma son Mat 45 et tira non pas en direction des militaires, mais en direction de Djamila.‏.C'est Alilou qui s'interposa et poussa Yacef Saâdi. Une intervention qui a coûté à Alilou‏ d'être blessé au côté droit, et fut presque arrêté. Il entama une retraite difficile par la rue N'fissa. Cette version qui nous a été racontée par la famille d'Alilou, on la retrouve en détail près dans le livre d'Yves Courrière, dans le chapitre consacré à la Bataille d'‏Alger‏, même si elle n'a jamais été confirmée par la principale concernée, Djamila Bouhired, devenue, aujourd'hui, contrairement à d'autres, une citoyenne anonyme.‏.C'est la deuxième fois qu'Alilou échappe à une patrouille de militaires, malgré toutes les précautions prises, la vie et la circulation dans La Casbah étaient devenues impossibles. L'étau se resserrait, de plus en plus, sur ce jeune homme de 24 ans, qui détenait tous les secrets de la Zone autonome.‏.Après l'arrestation de son frère Saïd, de son cousin Hammar Boudjemaâ, torturés et assassinés, six jours après la grève des huit jours, et l'arrestation de son frère Mohamed et la destruction partielle de sa maison du 3, rue Sidi Ben Ali, Alilou se sentait de plus en plus seul, abandonné par ses propres camarades de la Zone autonome. Et c'est presque par hasard qu'Alilou, errant, fut capturé, un certain mois d'août 1957.‏.Les éléments de la 10e Division du général Massu avaient mis un terme à sa cavale et achevé sa carrière militaire dans la Bataille d'‏Alger‏. Quelques jours plus tard et plus précisément le 25 septembre 1957, est arrêté Yacef Saâdi avec Zohra Drif. Ces deux chefs de la Zone autonome seront bien traités et ne subiront aucune torture.‏ Alors que les services du colonel Godard, commandant du secteur ‏Alger‏ Sahel, avaient essayé toutes sortes de tortures sur le jeune Alilou qui, avec le temps, n'a pas supporté le traitement qu'on lui a réservé. Le talon enlevé, le poignet troué avec une chignole, la peau retirée, etc. Et comme si cela ne pouvait suffire, on lui enleva la chose la plus importante à ses yeux, sa dignité, en le faisant passer pour un traître à la cause. Habillé du fameux bleu de chauffe, il bifurquait dans les rues de La Casbah en montrant du doigt tout le monde et personne. Il avait donné des noms qui n'étaient pas liés à la Zone autonome, pour tromper l'ennemi. Mais cela n'a pas suffi. Alilou, sous la pression et la torture, est devenu «un fou» révolutionnaire.‏ Après l'Indépendance, Amara Ali n'apparaît à aucune commémoration de la révolution. Les séquelles de la Bataille d'‏Alger‏ sont plus morales que physiques.‏il ‏décède, en avril 1986, dans l'anonymat et l'oubli.

  • @houriasebai2119
    @houriasebai21193 ай бұрын

    Merci.

  • @ahmedgama1001
    @ahmedgama1001 Жыл бұрын

    أحمد القامة الجزائري : جولة ممتازة بالصوت والصورة في تاريخ جزائر الثورة وتاريخ العمران والشوارع واللوائح ...فشكرا جزيلا وجميلا . تعلمنا منكم يا أستاذ ما لم يكن يخطر على بال ، كقضية مقتل على لابوانت رحمه الله وكشف الظروف والملابسات في هذه القضية وتفاصيل عن جامع بن فارس والأئمة الذين تعاقبوا عليه بعد الإستقلال والصدامات مع اليهود في عام 1960 وتفاصيل أخرى لا داعي لذكرها . فتحياتنا يا محترم !

  • @jounjian4311
    @jounjian4311 Жыл бұрын

    بارك الله فيك نورتنا بقصة مكان حبذا لو تشمل هذه الالتفاتة المدن الجزائرية العتيقة خاصة قسنطينة

  • @dadisat
    @dadisat Жыл бұрын

    سوف يشهد لك التاريخ استاذ علي هذا التوضيح الهام جزاك الله خيرا

  • @algerianman
    @algerianman Жыл бұрын

    le rabbin .....حاخام

  • @user-vg6wn7ii5n
    @user-vg6wn7ii5n Жыл бұрын

    Sidali Abdelhamid: le dernier des mohicans..Lorsqu’il commence à raconter sa vie, riche en péripéties, il évoque le quartier où il est né en 1921, non loin de Sidi Abderrahmane, le saint patron d’Alger. Il a vu le jour à la rue Caton, du nom de ce célèbre homme politique romain conservateur jusqu’au bout des ongles qu’on surnommait le censeur, qui avait averti dans un de ses nombreux écrits : « Il faut devenir vieux de bonne heure pour rester vieux longtemps. » Sid Ali s’est-il inspiré de cet adage ? A bientôt 88 ans, l’homme, à l’élégance harmonieuse et la verve flamboyante, se fie à sa mémoire phénoménale pour nous livrer son conte de faits. Pour descendre en nous-mêmes, il faut d’abord nous élever, et Sid Ali sait de quoi il en retourne, puisque les sauts périlleux, il les a appris aussi ailleurs que dans un gymnase où, brillant athlète, il comptait parmi les meilleurs. Son physique conservé, il le doit sans doute à l’activité sportive qu’il pratiquait assidûment.. Issu d’une famille modeste et nombreuse, Sid Ali se souvient avoir été très près de ses parents. De ses études primaires ou des cours d’arabe à l’école Chabiba d’Alger, créée en 1921 par des mécènes algérois, il garde des souvenirs vivaces. Encore plus du jour où il décrocha en 1935 son certificat d’études, après avoir côtoyé Mohamed Laïd Al Khalifa qui officiait à l’école de la rampe Vallée. « Il y avait Hatab, El Okbi, Habib Réda, les futurs chanteurs Abderrahmane Aziz et Abdelhamid Ababsa, Roudoci et bien d’autres. » Son père Mohamed était ouvrier pâtissier : « Il exerçait rue d’Anfreville chez les colons. Un jour, une crise d’asthme l’empêcha d’aller au travail. Comme c’étaient les fêtes de Noël, ses employeurs ne pouvaient tolérer cette absence. Il a été licencié sur le champ, sans autre forme de procès », explique-t-il avec un sens et un souci du détail constants et jamais gratuits. A quelque chose malheur est bon. Mohamed ouvrira sa propre pâtisserie aidé par son fils Sid Ali et les autres membres de la fratrie. Son frère aîné lui dégotera du travail en qualité de facteur télégraphiste. Il y restera jusqu’en 1943 avant de démissionner, pour éviter la conscription. On était en pleine guerre. Jeune, Sid Ali était un sportif accompli, influencé par ses frères aînés qui, eux-mêmes, pratiquaient l’athlétisme et la gymnastique. L’aîné, Abderrahmane, était secrétaire du Mouloudia d’Alger. C’est vous dire l’atmosphère sportive qui régnait chez les Abdelhamid. Que ce soit à l’AGVGA, aux Dragons Gymnastes d’Alger ou à la section de basket-ball de l’USMA, Sid Ali a eu ses heures de gloire. « Grâce à la gym, j’ai participé en Belgique à des concours, mais aussi à Fès en 1937 où on a défilé avec le drapeau marocain en entonnant l’hymne du PPA. » « On a été arrêtés, mais l’intervention de nos dirigeants, Zani Mahmoud et Medad Arezki, nous a fait éviter des conséquences fâcheuses », se souvient-il en multipliant les sourires entendus. Son entrée en politique ? « Jeunes, nous étions animés du sentiment nationaliste qui a trouvé un terreau fertile avec la venue de Messali, le congrès musulman et la naissance du PPA. Grâce à mon métier de postier télégraphiste, j’ai pu approcher Hocine Lahouel, Messali et Kehal Arezki. Je leur apportais des dépêches et, par curiosité de jeunesse, il m’arrivait de les ouvrir et de les lire ».... En 1940, Sid Ali prend contact avec Mohamed Taleb, dirigeant du PPA, qui le fait adhérer au comité d’action révolutionnaire nord-africain. « Ce comité rassemblait un groupe de militants qui, deux années plus tôt, avait pensé que la lutte pour la libération de l’Algérie devait aussi être menée par des moyens militaires. » Lorsque les Américains débarquèrent en 1942, la pression sur les jeunes s’accentua. « On s’activait alors pour inciter des jeunes à ne pas répondre à l’appel du service militaire, à ne pas faire de souscription pour la guerre et à acheter des armes, car la sensibilisation à l’indépendance était déjà entamée. Un groupe de jeunes nationalistes, comprenant Abdoun, Asselah, Cheikh Ahmed Benhocine, Ali Hallit, Temam et moi-même, s’est réuni à la médersa Erachad à la rue Médée. La répression n’allait pas tarder, puisque les militants furent arrêtés, dont Benkhedda, Debaghine, Bencherchali, Djemaâ et Mezghena, suivis par Ferhat Abbas et Abdelkader Sayah. » Le 30 septembre 1943, jour de l’Aïd, une manifestation est organisée. Quelques mois après, et à l’initiative de Taleb, Sid Ali est mis à contribution dans la création d’un journal L’Action algérienne qui n’est pas une feuille ronéotypée, mais une édition en caractères d’imprimerie : un vrai journal quoi ! « On a loué une épicerie à Fontaine Fraîche, qui faisait office de local ; on y vendait même du vin destiné à la clientèle du quartier, en majorité française, et ce, pour éviter les soupçons. On n’y est pas resté longtemps. On s’est déplacés à la rue d’Affreville dans un logement loué par mon père qui ignorait toutes nos activités. J’étais constamment traqué par la police. » En 1946, Sid Ali est désigné responsable du PPA pour le Grand-Alger. En novembre de la même année, le parti participe aux élections et y décroche 5 sièges, Mezghena, Khider, Debaghine, Derdour et Boukadoum Messaoud. «Naturellement l’administration avait truqué les élections. Cela étant, le parti avait besoin de certaines clarifications que le congrès de 1947 était censé lui apporter. La nouvelle orientation est que le MTLD active au grand jour, le PPA clandestinement, alors que l’OS s’occupait du militaire » En novembre 1947, Sid Ali accède au bureau politique en qualité de trésorier général du parti. Les élections de 1948, falsifiées par le gouvernement général, ont aussi valu à de nombreux militants d’être arrêtés. Le parti vivra encore des moments déchirants avec la crise dite berbériste de 1949. L’année suivante, l’OS est démantelée. Sid Ali est arrêté le 8 avril 1950. Il subit les tortures à la villa Mahieddine. La veille, il s’était réuni avec Krim et Ouamrane. Il est transféré à la prison de Tizi Ouzou, puis à Barberousse où il rencontre d’anciens prisonniers, Mazouzi et Zerouali, arrêtés déjà en 1945 ! Il est transféré à Blida où, parmi les pensionnaires, figuraient Ben Bella, Mahsas, Bouguerra, Benhadj Djillali. Dès sa sortie de prison, Sid Ali songe, avec ses camarades, au congrès qui tardait à se tenir, en raison des tergiversations de Messali. « En 1953, une délégation, composée de Lahouel Hocine, Dahlab, Souyah et moi-même, est partie voir Messali pour le ramener à la raison, mais en vain. » En fait, le zaïm avait demandé davantage de pouvoirs. « La crise est déclenchée début 1954 avec un travail fractionnel de sa part, alors que nous ouvrions pour l’unité et l’action. J’ai été arrêté le 22 décembre 1954 et libéré en mars 1955. De nouveau arrêté le 26 mars 1955 avec l’équipe de l’UGTA, Bourouba, Aïssat et d’autres, nous avons fait les camps de Bossuet, Berrouaghia, Arcole, Douéra, Paul Cazelles, St- Leu, avant d’être libérés fin octobre 1960. En 1962, on a cessé toute activité politique au FLN parce qu’on était du groupe de Benkhedda, Kiouane.

  • @nouriabelh4385
    @nouriabelh4385 Жыл бұрын

    بارك الله فيك واصل بيك رانا نتعرفو على دزاير

  • @sassas4969
    @sassas49692 ай бұрын

    Svpneplus. Prononcer. Lenom se. Saadi

  • @ezadsqable
    @ezadsqable Жыл бұрын

    اليد فاطمة ايقولوها اليهود

  • @user-vg6wn7ii5n
    @user-vg6wn7ii5n Жыл бұрын

    لماذا ياسف سعدي RENDA سلم نفسه للعدو ؟ أما الأبطال الآخرين عندما حوصروا في مخابأهم دافعوا حتى الإستشهاد و هم: عزوزي قدور و كاب عبدالرحمان- دبيح الشريف و رمال- علي لابوانت و مجموعاته- حسين تياح و سيدعلي بوزيري -عبدالرحمان عرباجي.

  • @user-bu8gm1og6p

    @user-bu8gm1og6p

    Жыл бұрын

    يجب ان تدرك ان بين مخبا ياسف و مخبا باقي المجموعة تاع علي لابوانت بضع امتار ، لو حصل تفجير للمكان لمات الجميع ، انا الحاجة لمفهمتهاش الناس لا تذكر اعمال ياسف السعدي الا هده الحادثة .

  • @user-vg6wn7ii5n

    @user-vg6wn7ii5n

    Жыл бұрын

    @@user-bu8gm1og6p لماذا علي لابوانت و مجموعاته ربي يرحمهم لم يفكروا بهذه الطريقة على التفجير و الجيران و نزيدلك كيف ياسف سعدي قائد المنطقة الحرة للعاصمة لم يقطع رأسه في سركاجي أو يقتل كما البطل العربي بن مهيدي ؟ و لا مرة واحدة في مذكراته ياسف سعدي تكلم على أول شهيد بالقصبة عزوزي قدور، و هما من نفس الحي بالقصبة...

  • @zahiayousfi9107

    @zahiayousfi9107

    3 ай бұрын

    ​@@user-vg6wn7ii5nياسف سعدي كان بياع باع بن مهيدي و غيرهم و عند الله تلتقي الخصوم و العاصميين القدم قاع علابالهم بصح النفاق و الخوف و أشياء أخرى تمنعهم من قول الحقيقة

  • @user-li4yq4bv3l
    @user-li4yq4bv3l2 ай бұрын

    راهبا متطوعا وليس بقسيس لان القسيس لنصاري والراهب لليهود

  • @debbahrafik6912
    @debbahrafik6912 Жыл бұрын

    دزاير بكري جدودنا غلطو كي قعدو فيها مور الإستقلال و وفقو على الجنسية الجزائرية أحفادهم اليوم مهامشين من ناس لي عندها الجنسية الفرنسية ، كان عرفو كان ما تنزلوش على الجنسية الأوروبية لي هيا أرقي من الجنسية الفرنسية لي ستفادو منها المخلوعين، الإستعمار الإفرنسي ولا كلابو لي حكمو الجزائر في الإستقلال، جي نهار أو نديرو برقية لي رإيس الجمهورية التركية على خيانة المسؤولين والعسكريين الجزائرين إتفاقيات

  • @AnfalBoualem

    @AnfalBoualem

    5 ай бұрын

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