La semaine verte | Les semences de la discorde
Plus de 25 ans après l’arrivée des OGM en agriculture, de nouvelles semences issues d’innovations en génie génétique inquiètent les producteurs biologiques. Pour calmer leurs inquiétudes, l’industrie s’engage à divulguer la nature de ces nouvelles semences. Mais comme pour les OGM « classiques » aucun étiquetage réglementaire n'est prévu. Alors est-ce que ce sera suffisant pour relever le défi de la traçabilité? Et comment les consommateurs feront-ils pour s'y retrouver?
journaliste : Chantal Srivastava
réalisateur : Claude Bellemare
#lasemaineverte
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Félicitations
Tout ce beau mon de est peut-être de bonne foi..... mais l'hommerie n'est jamais loin. Comment peut-on se fier à des entreprises dont la mission première est le profit. Et plus grand sont les profits plus grande doit être la circonspection. Le bio veut travailler avec la nature car les changements que fait celle-ci sont lents et adaptés dans le temps. Ces manipulations génétiques sont rapides dans le temps et il est impossible pour ces industries de garantir leur produit contre les impacts négatifs à long terme. à cause de la notion de profit de rendement. Ce n'est pas rentable pour ces entreprises d'attendre, de voir les impacts dans 50 ans. La compagnie risque de ne plus exister. Et on sera pris avec les dégâts ou peut-être que non, c'est un coup de dé...
la contamination sera impossible à détecter
Et qu'arrivera t-il quand ces gênes se retrouverons dans la nature, le pollen sa voyage!