"La philosophie à l'épreuve du réel" avec Charles Pépin | UEF 2022

Confiance, échec, joie, beauté, rencontre : voilà cinq items que Charles Pépin a explorés et détricotés dans autant d’ouvrages publiés ces dernières années. Le philosophe (et animateur de l’émission quotidienne estivale sur France Inter « Sous le soleil de Platon »), met ces thèmes - si centraux de nos existences individuelles et de notre communauté d’existences - en perspective des réalités de notre époque. Qu’est-ce qui, aujourd’hui, fonde la confiance (et son antonyme), détermine et répare ce qui est (ou non) échec, définit et ensemence la joie, désigne ce qui est (ou non) beau, singularise l’approche et l’exercice de la rencontre ?
Intervenant : Charles Pépin

Пікірлер: 5

  • @pascalchantrieux737
    @pascalchantrieux737 Жыл бұрын

    Le contenu de cette conférence est raccord avec le titre " Une Epoque Formidable ". Les jeunes d'aujourd'hui ont bien plus accès à la culture en général, toutes disciplines confondu ........ Les sujets abordés sont des outils précieux pour mieux se connaitre et avancer dans la vie plus sereinement..... J'aurai aimé étant enfant que l'on m'inculque que l'échec est initiatique et que le risque, c'est d'abord être en vie ......................

  • @RegineMeraouna-ir1dy
    @RegineMeraouna-ir1dy8 ай бұрын

    Churchill dans ses, culture, mentalité, diplomatie, échec temporaire...

  • @liberte4354
    @liberte4354Ай бұрын

    Dommage cette Publicité …..

  • @Leo-PaulBardiaux
    @Leo-PaulBardiaux6 ай бұрын

    Encore un prof de maths qui va défendre sa chapelle... Je propose de dire que le principe de la philosophie est de tenir un discours pour défendre une position. J'enchaîne pour dire que la position importe peu puisqu'il faut valoriser l'intuition d'avoir trouvé le discours le plus efficace pour défendre la position. Nous voilà arrivé au sophisme. Pourquoi les professeurs de philosophie ne valorisent-ils pas les copies sophistes ? Pourquoi est-il absolument nécessaire de citer des philosophes dans ma dissertation ? Le professeur de philosophie ne peut-il pas uniquement évaluer ma pensée directement issue de la raison universelle ? Pourquoi faut-il absolument faire un plan dialectique pour espérer une bonne note ? Le professeur de philosophie ne sait-il pas reconnaître le génie de mon intuition qui a su directement trouver la position résolvant les contradictions ? Je pense que ce monsieur devrait peut être parler de sujets qu'il connaît et se souvenir que les premiers philosophes plaçaient la logique, étape ultime du raisonnement normatif mais d'une efficacité redoutable, comme prémisse à la philosophie. Je finis en disant que, parmis la population (y compris dans les professions fortement mathematisées comme ingénieur ou prof de maths), il y a peu de personnes ayant vraiment compris que la mathématique est une science très souple pour peu que l'on n'ait pas l'esprit trop étriqué et normatif. Avez vous déjà vu un cercle carré ? Avez vous déjà vu un triangle à trois angle droit ? Mes élèves ne le croient pas jusqu'à ce que je leur fasse tracer après une longue redécouverte de notre monde ou de nos idées. Arrêtez une bonne fois pour toute de cracher sur quelque chose que vous ne comprenez pas et essayez de vous sortir un peu les doigts du cul. Vous verrez alors que la rigueur imposée par votre professeur (bon ou mauvais soit-il) n'est pas une mascarade et qu'elle permet d'aboutir à des merveilles. Et ne prenez pas votre intuition à deux balles sur une question basique de lycée pour un eclair de génie : il y a plus de chance que celle-ci soit dûe au nivellement par le bas de l'éducation en mathématiques des années 2000 (ie exo type répété ad nauseam, pas de piège, pas de données inutiles, la réponse est donnée dans la question). Enfin la question pour le prochain bac de philo : Dénoncer la démagogie dans une vidéo à 5000 vues sortie il y a un an n'est-il pas la définition de l'echec ?