Kevin sur sa schizophrénie : la remise en question permanente et la difficulté pour les proches.
À 33 ans, Kevin témoigne de la remise en question permanente qui accompagne le diagnostic de schizophrénie. Il parle également de la difficulté pour les proches à manifester un soutien adéquat dans ce genre de situations.
Cette maladie mentale est caractérisée par des perturbations de la pensée, de l'émotion et de la perception, ce qui rend difficile pour Kevin la faculté de distinguer la réalité de l'imagination.
Il est également sujet à des hallucinations et des délires qui peuvent être troublants et effrayants.
Malgré ces difficultés, Kevin est déterminé à vivre une vie pleine de sens. Il parle de la remise en question constante à laquelle il doit faire face, et comment il doit apprendre à naviguer dans un monde qui ne lui est pas toujours accessible.
Il parle aussi de la difficulté pour les proches à manifester un soutien adéquat dans ce genre de situations.
Beaucoup de gens peuvent ne pas comprendre les défis qu'il rencontre au quotidien, et il peut être difficile pour eux de savoir comment l'aider.
Projet réalisé avec le soutien du Fonds “Initiatives pour la santé et de la recherche”, géré par la Fondation Roi Baudouin.
"Normal" est une web-série abordant la santé mentale à la première personne. Au travers de portraits, le spectateur plonge dans l'histoire de personnes vivant au quotidien avec des troubles d'ordre psychologique. "
Normal" emmène le spectateur au-delà de la méconnaissance et des idées préconçues sur la santé mentale.
En libérant la parole autour de la bipolarité, la schizophrénie, l'alcoolisme, l'autisme ou le harcèlement scolaire, les auteurs nous invitent à questionner la notion de normalité au sein de notre société.
Ecriture et réalisation : Benoît Do Quang et Pablo Crutzen Diaz
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Пікірлер: 24
Je suis skizophrene aussi et je me sens tellement proche de ce que tu raconte. Merci pour ton témoignage. Voir que quelqu'un est passé par les mêmes étapes ... Moi aussi je gère au quotidien mes délires. J'ai choisie de baisser les doses médicamenteuses à cause des effets secondaire et ai fait le choix de vivre avec mes délires en les acceptant sans les laisser me dominer. Pour le moment je m'en tire bien. J'ai également repris le travail, meme si cette sensibilité différente me complique beaucoup les choses. Tes délires mystiques, je les ai vécus aussi. Tu n'es pas seul. Merci d'être ce que tu es.
@benzodiazepine6617
10 ай бұрын
Attention aux neuroleptiques !!! voir à : "Neuroleptiques / Antipsychotiques / Neurotoxines / Informations" et "SURVIVANTS DES PSYCHIATRES, MEDECINS ET NEUROLOGUES INFORMATIONS"
Quelle pertinence dans votre auto-analyse, continuer à vous poser des questions, à prendre confiance en vous, à communiquer votre point de vue cohérent. J'aime beaucoup le terme d'embrasser la maladie et le fait que faire disparaître les voix c'est retirer une partie de vous même. Comment les apprivoiser ? Comment en retirer un bénéfice secondaire? Au niveau de l'emploi, les lignes sont en train de bouger, que pensez-vous de la pair aidance ? Le récit de votre vécu m'a particulièrement touchée, votre force de résilience est immense!
Votre témoignage est très touchant. Vous êtes magnifique.
Choquée d'entendre que c'est "professionnel de la santé mentale" qui sait mieux que vous si vous êtes prêt pour le retour à l'emploi, apparemment certains sont encore de l'ancienne école et ont à évoluer, vous seul êtes en mesure de Savoir il est temps., d'autant que c'est un facteur non négligeable de rétablissement, vous êtes formidable ❤
Merci ton témoignage est magnifique et plein d'espoir...
Merci pour ce partage, ce témoignage et la sincérité de ce partage 😊
Force à toi mon pote
Votre témoignage est très Touchant Je Souhaite que Tous Vos Voeux se réalises Cordialement Emmanuèle Diserens
Bon courage a vous et bonne chance pour la suite. Vous êtes très cohérent et pertinent et vous avez l'air très sympathique.
J'ai 60 et j'entends des voix depuis mon enfance.le problème ,maintenant, j'entends des voix qui m'annoncent des choses qui arrivent vraiment..
@titineo07
3 ай бұрын
Peut-être que c est des entités
@madininabil
Ай бұрын
Donc tu es un médium
Putain de maladie😔
Perdre ses émotions ...
Les neuroleptique sont là pour achever les voix normalement sa marche je me demande vous avez qui comme psychiatre . Beau reportage emouvant
@ob8888
Жыл бұрын
Les neuroleptiques peuvent faire disparaître ou atténuer les symptômes positifs. On parle aussi de fuite de symptômes.
@marieclairevermeulen7363
Жыл бұрын
Moi je suis sous médicament mais j'ai toujours des voix après 4ans et demi de traitement
@benzodiazepine6617
10 ай бұрын
Attention aux neuroleptiques !!! voir à : "Neuroleptiques / Antipsychotiques / Neurotoxines / Informations" et "SURVIVANTS DES PSYCHIATRES, MEDECINS ET NEUROLOGUES INFORMATIONS"
Ce qui est positif c'est que vous allez toujours de vous même vers l'hôpital or le schizophrène refuse les soins. Ce qui est négatif c'est l'absence de votre famille, ça aide beaucoup et ça stabilise mieux.
@katychauvinlucci4773
Жыл бұрын
La skyzophrenie est une maladie pas une personne madame ! Ce nai pas le skyzophrene qui vas à l'hôpital ce soigner mais la personne qui est atteinte de cette maladie !
Pourquoi avez vous honte de la schizophrénie. Parce que vous pensez que vous n'êtes pas normal. Mais qu'est-ce que la normalité chez un individu ?. Est-ce que c'est faire la fête, travailler, ou discuter. Il faut savoir que les humains ne sont pas égaux dans les 5 sens connus. Nos sens sont plus ou moins développés d'un individu à l'autre. C'est pareil pour nos 6 émotions que sont : la tristesse, la surprise, la peur , la joie, la colère et le dégoût. Il faut aussi savoir qu'un schizophrène à toujours des pensées paranoïaques. C'est à cause de la communication par chuchotement que les humains entretiennent dans la société. C'est interprèté comme du complotage par les schizophrènes. Mais ça vient aussi de l'esprit critique que l'on nous enseigne à l'école. Et c'est interprèté comme : dire toujours du mal des choses et des gens par les schizophrènes. D'où l'isolement et le repli sur soi.