Exemple DALF C1-C2 Oral : L’égalité hommes femmes au travail
Est-il possible d’atteindre l’égalité hommes femmes au travail.
Dans le monde de l’entreprise, on entend souvent qu’il y a des inégalités de traitement entre les hommes et les femmes.
Dans les organes de gestion, on a déjà pris des mesures d’égalité. On doit prendre autant d’hommes que de femmes.
Malgré cette mesure, on constate toujours des inégalités entre les hommes et les femmes.
Peut-on améliorer la situation ?
On va parler des aptitudes, de la psychologie et enfin de l’aspect de la grossesse chez les femmes.
Il est évident que certains travaux sont plus adaptés aux hommes. Construire une maison par exemple implique qu’il faut transporter des charges lourdes. Et il semble que les hommes soient plus adaptés, mais il n’est pas exclu de voir des femmes faire cela.
Inversement, pour les métiers d’hôtes, on a souvent des femmes et les entreprises cherchent parfois exclusivement des femmes alors qu’un homme pourrait très bien faire le job.
Pour les aptitudes, je considère que les hommes et les femmes dispose d’une égalité parfait et que cel ne constitue pas un motif de différence de traitement. Cela dépend simplement des affinités. Une femme est capable d’apprendre et d’évoluer de la même manière qu’un homme. Les femmes aiment autant les chiffres que les hommes. Et les hommes aiment autant les lettres que les femmes. On devrait laisser les gens choisir. Il y a lieu de couper les clichés.
Du point de vue psychologique, je voudrais faire une différence entre des personnes que ce soient des hommes ou des femmes. Il y a des gens qui veulent aller chercher le pouvoir et qui s’affirment plus que les autres. Ils sont souvent plus agressifs et plus vindicatifs. Elles n’ont pas peur d’aller au conflit. Alors que d’autres sont plus réservées, plus introverties et ces personnes ont souvent un moins bon traitement que les premiers. Par les statistiques que l’on peut observer, les femmes font souvent partie du deuxième groupe. Pour ma part, je pense qu’il faut plus de transparence dans les salaires. Si l’on sait combien gagne le meilleur, on peut s’aligner et chercher à gagner plus ou non.
L’exemple de l’armée est assez parlant. Il y a des grilles de salaires et même si on est simple soldat, on peut savoir combien gagne le caporal ou le colonel. Tout est écrit et on sait combien on va gagner en fonction de son avancement. La question ne se pose plus.
Dans le privé, il est évident que c’est plus difficile car les entreprises sont en compétition entre elles et avec celles des autres pays. En tous cas, cette idée de la transparence est sûrement la clef.
La grossesse est souvent une excuse pour les entreprises d’esquiver la prise de responsabilités des femmes. Si une femme a plusieurs enfants, elle rate ainsi des opportunités gagner un meilleur salaire. Il faut ici se poser la question de savoir si l’entreprise est une entité seul ou si c’est une entité composé de plusieurs personnes qui travaillent ensemble. Si c’est le cas, tout le monde a une mère et même les chefs d’entreprises. Il faut alors considérer que les grossesses participent au bien être de l’entreprise ou de la société. Si l’on fait converger les intérêt de la famille avec ceux de l’entreprise, on peut sans doute aller vers une bonne prise en compte des temps de grossesse. Il faut éviter de penser qu’une entreprise n’est qu’une machine à faire du chiffre.
Tout le monde est un membre de la société et aussi un membre de l’entreprise.
Pour moi, il n’y a aucune différence entre les hommes et les femmes. Et il n’y a pas lieu de les différencier ou les exclure.
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