Y'a pas trop de questions sur pourquoi l'Empereur s'en prend au Duc. C'est clairement dit que le Duc devient populaire auprès des autres nobles et s'est doté d'une armée puissante. Le Duc lui même dit qu'il sait qu'il est dans le viseur car l'Empereur est envieux, mais part sur Arrakis quand même car c'est une opportunité de prendre une position forte. L'Epice c'est aussi clairement dit que ça permet le voyage interstellaire en donnant des pouvoirs psychiques. Donc déjà deux questions répondues dans le premier film, si on suit un peu. Les seuls adjectifs et explications de pourquoi tu trouves le film mauvais sont "mou", "dégueulasse" "moche". Rien de très objectif. Les choix des couleurs ont une claire signification et les contrastes marquent l'environnement qui formate les gens vivant dans cet univers. Le orange et le jaune pour la sécheresse et la chaleur mortelles d'Arrakis, le noir et blanc de Geidi Prime pour l'absence de nuances et l'artificialisation du monde Harkonnen, la pluie et l'orage de Seluca Secundis pour la brutalité des Sardaukar, le vert, doré et gris de Corino pour le modernisme épuré et l'arrogance de l'Empereur. Sur Arrakis on passe de la palette orange-jaune à gris-noir entre le moment où Paul comprend qu'il est le descendant des Harkonnen et adopte leur impitoyabilité. Chaque élément visuel et sonore du film convient un sens et une explications de où on se situe, de quel émotion on doit avoir et de ce qui est à venir. La scène où Paul saute sur le ver est précédée d'un calme qu'on avait pas ressenti avant, ce qui rend le vacarme et l'image troublée par le sable encore plus puissants. Le spectateur est mis dans la situation.. il ne manquerait plus qu'on ait du sable jeté à la figure pour que l'expérience soit complète. En parlant de Paul, c'est un personnage qui subit un peu dans le premier film, et est plutôt porté par l'histoire que l'inverse, on est d'accord. Mais ça c'est pas le film, c'est comment ça se passe dans les bouquins. Puis il pose ses pieds et tente de trouver sa voie sans tomber dans le piège du fanatisme religieux. C'est le moment de dénouement avec l'attaque Harkonnen et la vérité qui s'ouvre à lui qu'il cède et devient le messi, saveur fallacieux. Paul passe du garçon qui est transporté un peu partout au leader religieux charismatique très très vite. Chalamet a un engagement émotionnel qu'on voit dans ses expressions faciales, dans sa voix, dans son langage corporel. La scène dans la grotte est à donner des frissons. C'est un contraste énorme face aux histoires du type Laurence d'Arabie que quasiment tout les films occidentaux ont adopté depuis 60 ans. Pour les autres personnages: Javier Bardem incarne le combattant fanatique, qui voit confirmation de ses croyances partout. L'archétype du renforcement cyclique. Donc oui il agit aveuglement et sans réfléchir. Zendaya joue constamment le rôle de la Fremen qui se méfie du récit du messi, mais voit que Paul a du potentiel humain. Elle s'ouvre à lui, mais ultimement se voit trahie. La mère de Paul et son fœtus peuvent parler car elle a ingéré la substance qui créer l'épice, le truc qui donne des pouvoirs psychiques. De plus c'est une Bene Gesserit, les femmes qui peuvent sentir absolument tout autour d'elles. Y'a aucune raison de trouver ça revoltant, face à la Force dans Star Wars qui permet de parler avec les morts. A moins que tu ne sortes une vidéo intitulée "Star War Episode 4 oskour", car oups c'est inspiré de Dune. Le point où je suis d'accord, c'est la séquence finale où il y a un gros manquement sur la bataille finale. Les Saudarkar sont juste absents et la bataille géante est passée à la trappe. J'aurais préféré avoir des parties du 1er film coupées et remplacées par le début du 2e, pour avoir plus de temps sur la bataille finale. Ton analyse passe à côté de tout le contexte, le lore, la lecture entre les lignes, de ce que le son et les images peuvent donner comme émotions et explications. Tu as simplement vu que c'était un film de SF, et tu t'es dit que le film allait de prendre par la main comme Star Wars et allait te pointe le doigt vers qui sont les gentils et qui sont les méchants. Sauf que Dune c'est pas ça. Depuis les livres ça n'a jamais été ça. Tu as tout simplement eu des attentes mal placées: étonnement tu parles de super héros dans un film qui parle de religion et de sociétés, on sait pas d'où ca vient ce comparatif d'un combat entre deux humains et deux super héros. Je sais pas, c'est peut-être ta seule ref, vu ton mur. En parlant du mur, on revient sur le fait que ton son est mauvais, ton texte pas préparé, ton cadrage on dirait une vidéo de lycéen qui fait des expériences dans sa chambre, et que ton analyse passe par une vingtaine de points mals arrangés (tu pars sur des tangeantes, tu reviens sur des trucs abordés 5 min avant).
@lou89FWP5 ай бұрын
cette video oskour
@captainmelboy4223
5 ай бұрын
T'as grave raison frero
@matheobrangier82225 ай бұрын
Très bonne analyse du film, ce film est à l’image de la relation entre Chalamet et Kylie Jenner : du grand n’importe quoi
@miyou12
5 ай бұрын
Comme si tu connaissais Timothée et Kylie pour juger leur relation. Grand malade va
Пікірлер: 5
Y'a pas trop de questions sur pourquoi l'Empereur s'en prend au Duc. C'est clairement dit que le Duc devient populaire auprès des autres nobles et s'est doté d'une armée puissante. Le Duc lui même dit qu'il sait qu'il est dans le viseur car l'Empereur est envieux, mais part sur Arrakis quand même car c'est une opportunité de prendre une position forte. L'Epice c'est aussi clairement dit que ça permet le voyage interstellaire en donnant des pouvoirs psychiques. Donc déjà deux questions répondues dans le premier film, si on suit un peu. Les seuls adjectifs et explications de pourquoi tu trouves le film mauvais sont "mou", "dégueulasse" "moche". Rien de très objectif. Les choix des couleurs ont une claire signification et les contrastes marquent l'environnement qui formate les gens vivant dans cet univers. Le orange et le jaune pour la sécheresse et la chaleur mortelles d'Arrakis, le noir et blanc de Geidi Prime pour l'absence de nuances et l'artificialisation du monde Harkonnen, la pluie et l'orage de Seluca Secundis pour la brutalité des Sardaukar, le vert, doré et gris de Corino pour le modernisme épuré et l'arrogance de l'Empereur. Sur Arrakis on passe de la palette orange-jaune à gris-noir entre le moment où Paul comprend qu'il est le descendant des Harkonnen et adopte leur impitoyabilité. Chaque élément visuel et sonore du film convient un sens et une explications de où on se situe, de quel émotion on doit avoir et de ce qui est à venir. La scène où Paul saute sur le ver est précédée d'un calme qu'on avait pas ressenti avant, ce qui rend le vacarme et l'image troublée par le sable encore plus puissants. Le spectateur est mis dans la situation.. il ne manquerait plus qu'on ait du sable jeté à la figure pour que l'expérience soit complète. En parlant de Paul, c'est un personnage qui subit un peu dans le premier film, et est plutôt porté par l'histoire que l'inverse, on est d'accord. Mais ça c'est pas le film, c'est comment ça se passe dans les bouquins. Puis il pose ses pieds et tente de trouver sa voie sans tomber dans le piège du fanatisme religieux. C'est le moment de dénouement avec l'attaque Harkonnen et la vérité qui s'ouvre à lui qu'il cède et devient le messi, saveur fallacieux. Paul passe du garçon qui est transporté un peu partout au leader religieux charismatique très très vite. Chalamet a un engagement émotionnel qu'on voit dans ses expressions faciales, dans sa voix, dans son langage corporel. La scène dans la grotte est à donner des frissons. C'est un contraste énorme face aux histoires du type Laurence d'Arabie que quasiment tout les films occidentaux ont adopté depuis 60 ans. Pour les autres personnages: Javier Bardem incarne le combattant fanatique, qui voit confirmation de ses croyances partout. L'archétype du renforcement cyclique. Donc oui il agit aveuglement et sans réfléchir. Zendaya joue constamment le rôle de la Fremen qui se méfie du récit du messi, mais voit que Paul a du potentiel humain. Elle s'ouvre à lui, mais ultimement se voit trahie. La mère de Paul et son fœtus peuvent parler car elle a ingéré la substance qui créer l'épice, le truc qui donne des pouvoirs psychiques. De plus c'est une Bene Gesserit, les femmes qui peuvent sentir absolument tout autour d'elles. Y'a aucune raison de trouver ça revoltant, face à la Force dans Star Wars qui permet de parler avec les morts. A moins que tu ne sortes une vidéo intitulée "Star War Episode 4 oskour", car oups c'est inspiré de Dune. Le point où je suis d'accord, c'est la séquence finale où il y a un gros manquement sur la bataille finale. Les Saudarkar sont juste absents et la bataille géante est passée à la trappe. J'aurais préféré avoir des parties du 1er film coupées et remplacées par le début du 2e, pour avoir plus de temps sur la bataille finale. Ton analyse passe à côté de tout le contexte, le lore, la lecture entre les lignes, de ce que le son et les images peuvent donner comme émotions et explications. Tu as simplement vu que c'était un film de SF, et tu t'es dit que le film allait de prendre par la main comme Star Wars et allait te pointe le doigt vers qui sont les gentils et qui sont les méchants. Sauf que Dune c'est pas ça. Depuis les livres ça n'a jamais été ça. Tu as tout simplement eu des attentes mal placées: étonnement tu parles de super héros dans un film qui parle de religion et de sociétés, on sait pas d'où ca vient ce comparatif d'un combat entre deux humains et deux super héros. Je sais pas, c'est peut-être ta seule ref, vu ton mur. En parlant du mur, on revient sur le fait que ton son est mauvais, ton texte pas préparé, ton cadrage on dirait une vidéo de lycéen qui fait des expériences dans sa chambre, et que ton analyse passe par une vingtaine de points mals arrangés (tu pars sur des tangeantes, tu reviens sur des trucs abordés 5 min avant).
cette video oskour
@captainmelboy4223
5 ай бұрын
T'as grave raison frero
Très bonne analyse du film, ce film est à l’image de la relation entre Chalamet et Kylie Jenner : du grand n’importe quoi
@miyou12
5 ай бұрын
Comme si tu connaissais Timothée et Kylie pour juger leur relation. Grand malade va