Stream "Oxalá" :
fanlink.tv/desgo_oxala
Composé par : Tundé La Fuente
Guitare Portugaise par : Desgo
Réalisé par : Antoine Kaelin & Emmanuel Denis
Étalonnage : Antoine Kaelin & Emmanuel Denis
Montage : Desgo
Titrage : Desgo
Mix & Master : La Nuit
Enregistrement : Desgo
Stylisme : Prince Kobla
Remerciements :
Antoine, Manu, Tundé, Baptiste, Prince, Diaz
Othman, Magalix, Linet, Gros Mouton, Maria
Flora, Kiara, Raf, Samos et l'Alma Verde
Senhor 1 : À la fenêtre
Senhor 2 : Jouant aux jeux
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/ desgo.gp
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Paroles :
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Des années dans l’ombre comme si c’était ça qui rapportait gros
Regard vide le matin, on a perdu des points de vie dans l’métro
Les bras ballants comme si c’était normal de vouloir toucher l’sol
'ne sort qu’au coucher de soleil, ouais
Olala
D’où l’on vient, tout le monde est plombier ou maçon
Et a l’coeur froid comme glaçon
Aucune occupation, à part travailler, regarder les informations
Donc t’es comme un ovni, ouais
Quand tu dis qu’tu veux d’faire l’argent avec ta passion
Un genre d’infraction
Tu s’ras l’attraction
En plein repas d’famille tu r'ssens la tension
Parce qu'y’a des questions sur le pourquoi et comment?
Les incompréhensions finiront par passer comme les inquiétudes de maman
L'égo doit redescendre de quelques étages
Et ça nécessitera quelques réglages
Vois l’ambition comme une sorte d’héritage
Donc on court après l’succès
Comme quand on touchait la barre et qu’c’était le dernier aux cages
Ouais
Des années dans l’ombre comme si c’était ça qui rapportait gros
Regard vide le matin, on a perdu des points de vie dans l’métro
Les bras ballants comme si c’était normal de vouloir toucher l’sol
'ne sort qu’au coucher de soleil, ouais
Olala
Les miens m’disent de ter cuidado olala
Donc on termine nos phrases par oxalá
Les miens m’disent de ter cuidado olala
Donc on termine nos phrases par oxalá
On m’dit de ter cuidado comme si ça protégeait du danger
Gros sur le coeur on n’en parle pas comme si l’poids allait s’enlever
Si t’y pense trop tu déraille
Mode de vie nocif, à s’livrer que sur les sons
La tête plus dur que la feraille
Normal chez moi j’aurai vu coulé que du béton
Du monde autour mais seul au volant
On fait comme on peut
J'fais qu’parler à Dieu, parler dans l’vent
Mais l'égo doit redescendre de quelques étages
Et ça nécessitera quelques réglages
Vois l’ambition comme une sorte d’héritage
Donc on court après l’succès
Comme quand on touchait la barre et qu’c’était le dernier aux cages
Ouais
Des années dans l’ombre comme si c’était ça qui rapportait gros
Regard vide le matin, on a perdu des points de vie dans l’métro
Les bras ballants comme si c’était normal de vouloir toucher l’sol
'ne sort qu’au coucher de soleil, ouais
Olala
Les miens m’disent de ter cuidado olala
Donc on termine nos phrases par oxalá
Les miens m’disent de ter cuidado olala
Donc on termine nos phrases par oxalá
♪