Deleuze: Sur Spinoza, séance 4

Gilles Deleuze
Sur Spinoza, séance 4
Université Paris-VIII, 6 janvier 1981
[some of these files are cut off at the beginning or the end, and most contain gaps where the tape had to be changed]
MP3s of the entire course:
skydrive.live.com/?cid=7cbb5c...

Пікірлер: 11

  • @rur-idf
    @rur-idf4 жыл бұрын

    Le passage sur la sensibilité et trouver ses auteurs est savoureux.

  • @awkw3589

    @awkw3589

    3 жыл бұрын

    1:26:00

  • @deneb9601
    @deneb96012 жыл бұрын

    merci

  • @drownedboy8
    @drownedboy84 жыл бұрын

    à 56'40, j'ai dû faire une pause tellement j'ai eu besoin de digérer (rapidement) la puissance de tout ce qu'il venait de dire depuis le début de cette 4eme séance.

  • @robertnicora1136

    @robertnicora1136

    4 жыл бұрын

    C'est important de remarquer que c'est des cours de deuxième et troisième cycle universitaire qui sont professés dans le cadre de la rédaction d'un livre comme c'est quelquefois le cas

  • @hervebaillet5716
    @hervebaillet57165 жыл бұрын

    Les commentaires de Deleuze su l'intellectuel amer, ses recommandations de ne jamais critiquer... Ma parole, tout cela sied comme un gant à Michel Onfray!

  • @neptuneestsurle.desallumer780

    @neptuneestsurle.desallumer780

    3 жыл бұрын

    Onfray n'importe quoi pour passer à la télé

  • @ndiambediagne6011
    @ndiambediagne60114 жыл бұрын

    Bien compris

  • @neptuneestsurle.desallumer780

    @neptuneestsurle.desallumer780

    3 жыл бұрын

    euh.... Compend rien (accent vièt

  • @eliechemaly6038
    @eliechemaly60386 жыл бұрын

    c'est fou d'entendre deleuze parler de problemes de respiration comme ex dans son cours ,puis de suicide apres ! j'ai eu l'impression d'lentendre parler de sa propre mort ! ay yayy !spinoziste jusqu'au bout !!

  • @adrianheartfield1558

    @adrianheartfield1558

    Жыл бұрын

    Ce n'est pas une impression, il parle de sa propre défenestration et la justifie en partie, ça fait partie de son bagage de reflexions lorsqu'il a commencé à fomenter sa propre mort. 1h45-2h00 "un corps dont toute une partie va tendre à supprimer les autres, [...] une rebellion de certaines parties qui entrainent les autres dans leurs destructions [...] la maladie comme erreur, la maladie consiste en quoi ? [...] qu'est-ce qui est affecté ? c'est le système de discernement moléculaire [...] la vieillesse ce serait le seuil de franchissement d'une particule vis à vis de ses erreurs [...] Spinoza ramène le suicide à une maladie d'erreurs ; à savoir, toute une zone de particules données ne reconnaissent plus les autres particules sous leurs autres rapports comme étant les miennes, ou comme étant les leurs ; et se retournent contre elles" Il y a un pli Puis 2h08'45 sur la morale en citant Spinoza sur les fins de correspondances "Si quelqu'un voyait qu'il convient à son essence de faire des crimes ou de se tuer ... celui-là aurait bien tort de ne pas se tuer ou de ne pas faire des crimes" Voilà qui est justifié S'ensuit les oppositions morales et l'arrivée d'un autre niveau d'éthique dans cette lente et nécessaire exposition des écrits de Spinoza. Vivre avec des peines respiratoires comme lui (il a fumé toute sa vie, les retombées lui étaient insupportable à la fin, ce n'est plus une vie, on ne s'entend même plus penser, la douleur prend toute la place) ou avec une diminution quelconque est insupportable pour beaucoup, la défenestration est un peu ; voir carrément barbare mais le pentobarbital n'étant pas légal en France il faut faire dans l'horrible symbolique, tout comme la fenêtre qu'il a choisit, un corp qui se brise par le principe sus-évoqué ou vivre sa lente et douloureuse destruction avec tous les dérèglements de la vieillesse contre lesquels on ne peut rien. On a surtout peur de la souffrance, pas tant de la mort passé un certain stade de réflexions et de connaissances culturelles, intellectuelles.