Découverte | Bannir les polluants éternels
Une militante inuk et une chercheuse en santé préventive ont uni leur force pour faire bannir les « polluants éternels ». Les substances perfluoroalkyliques et polyfluoroalkyliques (PFAS selon l’acronyme anglais) ont des propriétés antitaches et antiadhésives qui les rendent extrêmement populaires. On les retrouve dans les poêles antiadhésives, les meubles et les tapis, les vêtements de sport, etc. Ces molécules ne se dégradent pas facilement. Elles s’accumulent dans l’environnement et le corps humain.
Les PFAS voyagent jusqu’aux pôles et se concentrent dans les mammifères marins, comme le béluga et le narval, deux espèces qui font partie de la nourriture traditionnelle des Inuit. Peut-on stopper leur production?
Reportage diffusé le 20 mars 2022
Journaliste : Dominique Forget
Réalisation : Sylvie Mallard
#Découverte #environnement
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Ça fait mal, aujourd'hui, nous avons pris conscience de ces problèmes, il serait criminel de ne pas changer ce qui peut l'être immédiatement !
Après le PFAS, il faut aussi s'attaquer à toutes ces emballages de plastique (petit pot de yogourt, jus, paille, boite de biscuits, chips, emballage de chocolat, fruits, etc.), faut complètement changer nos habitudes. Faut aussi diminuer nos attentes envers l'avenir, on peut améliorer les matières avec la technologie, diminuer les coûts avec le volume, mais ça prend du temps tout ça. À court terme, changer nos habitudes ou diminuer notre consommation de plastique, c'est très faisable. Le plastique, ce n'est pas recyclé à 100% même quand c'est dans le bac de recyclage, 9% du plastique jeté au Canada est recyclé (selon Env. Chang. climatique Canada). Une fois que c'est recyclé, il faut penser aussi à si ça pourra être encore recyclé (l'énergie et l'eau que ca prend)....
Qu'il est loin le temps du pot de yaourt en carton enduit de cire!
Gortex gortex 3:13