Comment passer pour charismatique en acculant ses élèves au désespoir

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Пікірлер: 25

  • @marjorie2521
    @marjorie2521 Жыл бұрын

    Analyse très intéressante ! Effectivement, ce prof fait le "show" alors que j'essaie au maximum de mettre l'apprenant au centre de la classe. Vivement la prochaine vidéo !

  • @Culture_FLE

    @Culture_FLE

    Жыл бұрын

    Un grand merci !

  • @ledement1399
    @ledement13993 ай бұрын

    Votre analyse ne prend pas en compte une analyse du film donc selon moi elle se biaise en cela. Ce n'est pas le professeur qui est responsable du suicide de cet élève, auquel cas, les avis sur le film seraient assez en défaveur du personnage du professeur. Je ne suis pas professeur mais en tant qu'ancien éleve, c'est ce genre de pédagogie peut révéler tout le potentiel humain d'un élève et lui offre un point de vue différent de ce que la société ou les personnes qui la constituent lui construise. J'ai eu un professeur qui ressemblait au personnage du film et ce fût un des rares à m'avoir donné les clés pour entamer une réflexion sur des thématiques aussi futiles en apparence pour monsieur et madame tout le monde mais tellement incroyable, cela m'a rendu heureux quand j'y repense. Il n'était pas aussi théâtral que dans le film mais il était brillant par son audace de proposer une pédagogie différente des autres professeurs. Et je suis ici pour vous dire que sa pédagogie ne m'a pas poussé au suicide, c'est même très probablement une capacité de réflexion plus poussée que celle de mes camarades qu'il m'a permis de développer, et cela, sans être un professeur de philosophie, ni un professeur de français ! Je ne sais pas si vous lirez ceci madame mais cela m'a fait plaisir de vous partagez cela. Soyez heureux et heureuses à tout ceux qui lisez ceci.

  • @moije1895
    @moije1895 Жыл бұрын

    📄 « Profitez du jour présent mes amis, que votre vie soit extraordinaire ! » John Keating ( Robin Williams ) [ Environnement et contexte historique ] : 📄 Quand il s’attelle à la rédaction du scénario du Cercle des Poètes disparus, Tom Schulman s’inspire grandement de son expérience au sein de la Montgomery Bell Academy à Nashville ainsi que de sa rencontre avec Samuel Pickering, un professeur aux méthodes peu conventionnelles et inspirantes.

  • @soheilaalidoust-wy9fj
    @soheilaalidoust-wy9fj5 ай бұрын

    Très intéressant !! 👏👏

  • @carinelallemand7365
    @carinelallemand73656 ай бұрын

    Ce film est un navet ! Un somnifère Aux vertus Soporifiques éphémères d'unijambiste libidineux, Ce que la fourchette est à la soupe lorsque l'on désire manger chaud , la cueillère ragoûtant son pain .

  • @kevinmartin2038

    @kevinmartin2038

    3 ай бұрын

    Dommage de tomber ici dans le commentaire sans nuance...

  • @estellejardin
    @estellejardin3 ай бұрын

    Analyse biaisée et qui me choque de la part d'une collègue. Soit vous n'avez pas compris le film, soit vous avez un souci personnel à régler qui explique que vous utilisiez le personnage de Keating comme victime expiatoire. Le message du film dénonce la reproduction des élites qui nie les individus et les brise dans ce qu'ils portent de plus précieux, à savoir eux-mêmes. L'institution privée pour jeunes gens riches qui moutonnent, subissent un enseignement non pour s'émanciper, se réaliser mais seulement pour reproduire le modèle social attendu par leur famille, mais qui n'est pas le leur. Avec un prof qui va bousculer ces jeunes et leur permettre non seulement de prendre goût à la littérature, à la poésie, mais de pouvoir y puiser des raisons de vivre, à une époque (années 50-60) où il est encore compliqué de pouvoir choisir sa profession et s'extraire du moule familial. Si dans les années 90, on pouvait trouver encore quelques films pour dénoncer la morale bourgeoise, parler de ce qui fâche, montrer les difficultés d'émancipation et de liberté des jeunes (notamment ceux des années 50-60 -voir "le sourire de mona lisa"' sorti en 2003 qui est le jumeau au féminin du "cercle des poètes disparus"), ça devient beaucoup plus compliqué aujourd'hui. Entre être et avoir, la plupart des gens ont choisi l'avoir. L'être est nié. Est-ce que l'école est encore là pour interroger le monde? Dénoncer la morale bourgeoise? Plus du tout, mais pour formater les élèves selon le desiderata industriel, financier du moment. Donc ces profs qui ont commencé à dénoncer la société bourgeoise patriarcale dans les années 50-60, représentent tout ce qui fait horreur au monde d'aujourd'hui. Il faut donc démonter Keating qui ne sait pas rester à sa place parce qu'il essaie de faire réfléchir ses élèves sur leur condition via la littérature, la poésie, va les interroger sur leurs aspirations personnelles (et non sur leur mise en conformité d' avec le désir de leurs parents pour eux). Le rendre responsable du suicide du jeune Neil alors qu'il ne l'est pas du tout (c'est l'humiliation, la violence paternelle qui est responsable du suicide de Neil, pas Keating), permet à la société bourgeoise d'éviter de s'interroger sur ses propres dérives. Et aussi de blâmer la vocation pédagogique. Keating n'est pas là pour faire son show, mais pour donner le courage à ses élèves de s'émanciper, de trouver leur propre chemin, de s'affirmer au lieu de subir la loi sociale, institutionnelle et familiale. Il est un éveilleur en tant que prof, ça fait partie de sa vocation. Il en paie le prix fort (destitué de son poste), mais ses élèves ont tous conquis leur autonomie intellectuelle à la fin de son intervention. Il n'a donc pas perdu son temps et peut partir heureux du devoir accompli. Il a rempli sa mission professorale bien au-delà de la matière qu'il enseigne. Il a appris à ses élèves à être et à penser par eux-mêmes. Ce qui sera précieux pour toute leur vie. N'est-ce pas le sens le plus haut du métier d'enseignant?

  • @Culture_FLE

    @Culture_FLE

    3 ай бұрын

    Mon propos n'est pas de faire une analyse du film, mais bien des pratiques enseignantes telles qu'elles sont représentées dans le film.

  • @estellejardin

    @estellejardin

    3 ай бұрын

    @@Culture_FLE Pourquoi un enseignant qui tente de faire réfléchir les jeunes sur leur conditionnement social pour qu'ils puissent entrer en critique et se penser par eux-mêmes plutôt que de se résigner et se soumettre, vous fait peur?

  • @Culture_FLE

    @Culture_FLE

    3 ай бұрын

    @@estellejardin Pourquoi pensez-vous qu'un tel enseignant me ferait peur ?

  • @estellejardin

    @estellejardin

    3 ай бұрын

    @@Culture_FLE S'il ne vous faisait pas peur, pourquoi alors débiner sa pédagogie en la rendant faussement responsable d'un suicide dont seul le père du jeune homme élève est en réalité responsable?

  • @Culture_FLE

    @Culture_FLE

    3 ай бұрын

    @@estellejardin Peut-être parce que sa "pédagogie" est effectivement mauvaise ? Avez-vous regardé la vidéo ou vous êtes-vous arrêtée au titre ?

  • @Fisherstack
    @Fisherstack3 күн бұрын

    Bien que je n’étais pas d’accord avec ce que votre titre suggérait de votre analyse, j’ai quand même cliqué pour essayer de comprendre votre point de vue. Mais, en dehors de mon avis même, je n’ai pas trouvé votre analyse convaincante. En fait, vous semblez partir de votre avis (négatif) pour construire des arguments. Je vais essayer d’exprimer pourquoi en reprenant les points qui ne m’ont pas convaincu : - Quand vous dites « La question ne se serait pas posée sans l’arrivée de ce professeur atypique dans cette école », après avoir reconnu que l’attitude des parents était pour beaucoup dans le destin tragique de Neil Perry : En êtes vous certaine ? On pourrait tout aussi bien dire que le pilote de F1 Ayrton Senna ne serait pas mort dans un accident de voiture si son père n’avait pas été gérant d’une société qui se trouvait être un fournisseur de l’industrie automobile, environnement qui allait éveiller son intérêt pour la course automobile : ça n’a pas de sens. Il n’y a aucun enseignement à tirer de cette question. - « Dans la vraie vie, si un prof n’en faisait qu’à sa tête en ne respectant absolument pas le programme, je suis presque sûre qu’il se trouverait des parents pour s’en plaindre ». En dehors de votre choix lexical (n’en faire qu’à sa tête : connotation d’obstination, d’aveuglement) : dans notre monde, on pourrait trouver des parents pour se plaindre à propos de tout, y compris de profs suivant le programme, malheureusement (un exemple en est même devenu un symbole). Mais avant tout, où est-il montré dans le film que ce prof ne respecte pas le programme ? En faisant arracher les pages d’une simple introduction ? Cette intro n’est pas le programme : c’est une… intro ;) . Le programme, c’est en revanche l’étude de Shakespeare, par exemple, qu’il traite malgré le fait que cela soit généralement pénible pour les élèves. C’est uniquement sa façon d’aborder le programme qui change. Et s’il n’est pas conventionnel, il ne montre aucun manque de respect à sa hiérarchie., d’obstination ou d’aveuglement. - « comment un prof qui mène ses élèves au suicide peut-il rencontrer une telle adhésion du public ? » Là encore, la manière dont vous posez la question est biaisée, car vous partez du postulat que le prof est responsable du suicide de l’élève, et non ses parents. Vous posez également la question suivante : « Pourquoi être nous-mêmes s’il n’y a que des ennuis à en récolter ? ». Là, ça tient plus de l’expression d’une idéologie, d’un communautarisme ou d’un sectarisme que de l’analyse, non ? De plus, Keating, lui-même, dit bien à Charlie Dalton « Sucez la moelle de la vie mais n'avalez pas l'os ». - « il s’agit d’un personnage aux facultés surhumaines ». Ce n’est pas sérieux : il est assez évident de deviner qu’Anderson est terrifié à l’idée de parler en public, vu sa tête et son incapacité à parler quand Keating pose la question « Le langage a été créé dans un seul but … Monsieur Anderson, allons êtes vous homme ou amibe ? ». C’est pour cela qu’il redirige la question vers Neil, après avoir pris conscience qu’il allait falloir faire quelque chose pour Todd. Ca se passe avant l’extrait que vous montrez dans votre vidéo. Je suis étonné que vous ne l’ayez pas remarqué. A moins que vous ayez décidé de ne pas parler de ça, juste pour justifier votre argument. - Le seul point sur lequel j’aurais été d’accord avec vous, c’est sur l’extrait dans lequel le prof le pousse à inventer de la poésie improvisée face à la classe. Disons que c’est une version un peu plus poussée d’une récitation devant la classe. Je me souviens, en classe de français, avoir été terrifié à l’idée de citer un texte. Un prof de musique nous avait même fait chanter devant certains de nos camarades, dans des groupes de 4. Dans le film, c’est un peu plus exagéré, mais c’est la même idée. C’était dans mes années collège, donc entre 1985 et 1990. Ceci vous paraît extravagant ? - De la même façon, il vous paraît incroyable, dans la séquence de la marche dans la cour, qu’il ait pu cerner aussi bien ses élèves. Il a remarqué quoi : qu’un des élèves marchait lentement, qu’un autre se demandait si ce qu’il faisait était bien ou non (Cameron, le lèche-bottes : un lèche-bottes ça se remarque très facilement, tout le monde pourra le dire ;) ) , et le fait que Overstreet était poussé par une force virile (soit… pour celui-là). - « L’injonction a être soi-même ». Votre critique semble juste être : c’est un peu facile de dire « soyez-vous-même ». Vous vous contredisez : vous dites « est-ce qu’il ne devrait pas les aider à tester des choses pour mieux se cerner plutôt que ces injonctions directes et vagues ? ». C’est justement ce qu’il fait : il les fait marcher dans la cour, leur fait écrire un poème, etc : ce sont des actions, il les rend acteurs de leur propres découvertes. Il n’y a aucune façon d’enseigner aux gens à être eux-mêmes, mais en ne tentant aucune exercice pour le faire, le prof leur enseignerait uniquement à être « dans le courant », c’est à dire l’inverse. - La scène du bureau. La scène est transgressive, en cela, vous avez raison. Mais contrairement à ce que vous dites, le but n’est pas la transgression, mais la recherche d’une autre perspective. Etes vous déjà montée sur une table ? Ou avez-vous déjà regardé votre séjour, la tête en bas depuis votre canapé ? Cela a un effet direct sur notre perception de notre environnement, et donc sur notre jugement. Cet exercice permet de se rendre compte soi-même de cela, dans son corps, ce qui est parfois plus efficace que la seule intellectualisation. Peut-être ne l’avez vous juste pas ressenti ? Car vous avez vous-même substitué le but de l’exercice (la perspective différente) par « l’autonomie », que vous avez opposé à « l’obéissance » en pointant une fausse contradiction. Pourquoi ? - Selon vous, l’utilisation de l’action par le prof n’est pas à l’attention des élèves, mais des spectateurs du film. Là, on doit bien se comprendre : un film s’adresse bien à des spectateurs et délivre parfois un message (et c’est bien le cas), mais ce n’est pas pour autant que la scène est mensongère ou l’exercice dénué d’intérêt pour les élèves. Donc au final, quel est la critique du point de vue pédagogique ? - Vous revenez ensuite sur la scène de la marche. Et votre critique est assez claire : une telle démarche pédagogique demande du temps, et les profs n’en ont pas assez. C’est donc une critique du système scolaire tel qu’il existe, pas une critique du prof (pour rappel, c’est l’objet de votre vidéo). Si l’on prend en compte tous ces points, cela me donne l’impression que votre vidéo n’est pas une analyse mais une sorte de… revanche, mais on ne sait pas sur quoi (et d’ailleurs cela ne me regarde pas et ne m’intéresse pas), mais vous semblez vous acharner sur ce film et cette figure de prof non-conventionnel. Qu’il n’y ait pas d’équivoque : mon objectif n’est pas de défendre le film (bien que je pourrais le faire sans problème). Je n’ai écrit ce texte qu’en réaction à votre argumentaire qui ne me semblait, au mieux pas juste, au pire pas honnête. C’était un bon exercice, bien qu’un peu long (on ne peut répondre qu’en texte et pas en vidéo, ce qui aurait été plus rapide). Peut-être qu’après tout, tout ceci, votre discours, n’est qu’un contenu pour faire vivre une plateforme ;)

  • @OursDéplumé
    @OursDéplumé Жыл бұрын

    " experimenter les dangers du conformisme dont chacun à pu experimenter la force dans sa chair " ah bon ! quand ça donc ? je vois pas ...

  • @kevinmartin2038
    @kevinmartin20383 ай бұрын

    Pour le coup, j'ai enchainé sur cette vidéo (après celle sur Entre les murs) et là je suis un peu déçu par votre propos inaugural et le titre de cette analyse. C'est un raccourci trop gros pour être vrai (que vous nuancez d'ailleurs vite) et peut-être était-il destiné à attirer les foules. Si cela est le cas (et je ne vous blâme pas vraiment pour cela, c'est une pratique courante), c'est regrettable et surtout à contre-courant de la suite de la vidéo plus nuancée. Pour le reste, je vous rejoins sur certains points (passer de l'abstrait au concret, la mise en abyme par ex) mais je demeure plus enthousiaste sur le style de l'enseignant et de ses méthodes. Tout d'abord, il me semble obligatoire d'intégrer le contexte social de l'école pour analyser ses cours : il ne s'adresse pas à des 5èmes issus d'un collège en difficulté mais bien à des adolescents très instruits et issus de milieux très favorisés et élitistes. En tant qu'enseignant, le contexte doit être pris en compte lors de l'élaboration de ses séquences et de ses "représentations". Il induit un comportement et un style bien différents. Ensuite, là où vous voyez une forme de harcèlement, j'y vois un formidable moyen d'exploiter pleinement le potentiel des élèves. Pourquoi ? Parce que ceux-ci sont déjà plus à même d'intégrer positivement cela (de par leur âge notamment) et parce que sans beaucoup de temps partagé, le prof a su instaurer un climat de confiance visible. Lorsque j'ai découvert ce film pour la 1ère fois, j'ai hurlé à la démagogie. Comme beaucoup d'enseignants en réalité. Mais à mesure de mes nombreux visionnages, à mesure que ma vision des enseignants progresse (20 ans de carrière maintenant), je peux me risque à affirmer ce qui va suivre : cet enseignant incarne celui que l'on voudrait être. Pourquoi ? Parce qu'il fait réfléchir ses élèves, parce qu'il les fait sortir du cadre (et en tant qu'enseignants bien disciplinés que nous sommes souvent, c'est bien là aussi notre rêve ultime), parce qu'il pousse leur créativité, parce qu'il leur transmet des valeurs (et pas seulement du contenu), parce qu'il les pousse à grandir, parce qu'il les pousse à devenir autonomes. Mais il est difficile de se l'avouer car devant tout cela, il y a cette frontière délicate vers la démagogie et le show. En tout cas, merci pour votre vidéo qui pousse à la réflexion, merci pour cet espace de calme dans l'échange (si rare sur le net). Ce film aussi pourrait être proposé aux étudiants.

  • @Culture_FLE

    @Culture_FLE

    3 ай бұрын

    En effet, j'ai envie que l'on regarde mes vidéos ☺️ et le titre fait partie du jeu sur KZread ! Si vous les aimez, je vous encourage à les partager ! De mon côté, je trouve que ce qui fonctionne dans le film ne fonctionne que parce c'est précisément un film. Et je ne suis vraiment pas convaincue que les élèves apprennent finalement bien à penser par eux-mêmes. Mais il est intéressant de noter que nous ne sommes pas toutes et tous d'accord à ce sujet... Le fait est que certains enseignant·es y voient bien un modèle (comme le montrent d'autres commentaires 😉 !)

  • @Sachaslord
    @Sachaslord Жыл бұрын

    Je comprends mieux pourquoi je n'ai jamais aimé ce film. Merci pour le décryptage et le parallèle intéressant avec notre enseignement !