343. Le Front populaire au présent

L’invité : Jean Vigreux, professeur à l’université de Bourgogne
Les livres : Le front populaire. L’échappée belle (Tallandier, 2016) ; Le Front populaire (PUF, 2022)
La discussion :
• Introduction : le retour du passé dans le présent (00:00)
• Le Front populaire comme grand écart entre deux gauches « inconciliables » ? (13:00)
• Rassemblement par le haut et par la base (21:30)
• Le Front populaire comme épouvantail à droite (33:20)
• Questions des auditrices et auditeurs (38:50)

Пікірлер: 5

  • @gijw1317
    @gijw131721 күн бұрын

    a faire connaître très très très beaucoup.

  • @mtsanga3421
    @mtsanga342111 күн бұрын

    Très intéressant. Merci !

  • @audouardjerome7118
    @audouardjerome711822 күн бұрын

    Encore un excellente émission qui participe de notre formation continue d enseignant désormais disparue et qui offre de belles ressources à nos élèves et étudiants. Très belle analyse de Jean Vigreux (je renvoie à la tribune consignée dans le Monde sur la réforme du Capes) qui tisse parfaitement le lien passé/présent. Quid des archives de Pierrefitte?

  • @AliceLaronce
    @AliceLaronce24 күн бұрын

    Ma grand-mère m'a raconté que son père avait appelé le chien de la famille "Blum" à l'époque... Mon arrière grand papi ne devait pas être très à gauche :)

  • @othall
    @othall18 күн бұрын

    Exposé très intéressant, merci. Mais puisque vous avez quelquefois tenté des parallèles avec l'actualité Il ne faut tout de même pas oublier que le PCF était vraiment moscoutaire. Preuve en est que quelques années plus tard, Thorez a refusé de défendre son pays et s'est enfui en URSS. N'avons nous pas à l'heure actuelle toujours des partis moscoutaires ? D'autre part, toutes les avancées du Front Populaire ont été possibles car le marché économique était beaucoup moins ouvert. Or, le décider brutalement aujourd'hui alors que les conditions économiques sont radicalement différentes, les économistes sont beaucoup plus partagés. Donc toute comparaison avec la situation actuelle me semble délicate. Ce qui n'empêche pas d'être prudent. N'est ce pas le fils de Jean le Bon qui lors de la bataille de Poitiers, lui disait: "Père, gardez-vous à droite ! Père, gardez-vous à gauche !" ? Cdlt